Il s’exprimait lors de l’ouverture d’un atelier régional conjoint sur la gouvernance responsable des régimes fonciers en Afrique de l’Ouest organisé par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Initiative prospective agricole et rurale (IPAR) et le Fonds international de développement agricole (FIDA).
« Des plateformes nationales sur les directives volontaires à l’image de celle au Sénégal, sont mises en place au Mali et en Mauritanie. Il s’agit désormais de renforcer et de développer ces dynamiques dans une approche participative et inclusive », a laissé entendre M. Mboup. Selon lui, il faut résolument faire preuve d’une véritable volonté pour l’opérationnalité des directives volontaires à travers une gestion durable des ressources de nos territoires pour une prospérité équitable qui améliore les conditions de vie des citoyens.
Pour le cas du Sénégal, le conseiller technique a affirmé que le ministère de l’agriculture s’est engagé depuis 2014 à intégrer les directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans ses stratégies et politiques pour une sécurité alimentaire.
Il faut rappeler que les directives volontaires de la FAO ont été élaborées à travers un processus de consultation inclusif et transparent auquel ont pris part plusieurs pays ainsi que des représentants de la société civile, du monde académique et de la recherche. Ils mettent en exergue un ensemble de bonnes pratiques pour une gouvernance foncière responsable.
El Hadj Diakhaté
« Des plateformes nationales sur les directives volontaires à l’image de celle au Sénégal, sont mises en place au Mali et en Mauritanie. Il s’agit désormais de renforcer et de développer ces dynamiques dans une approche participative et inclusive », a laissé entendre M. Mboup. Selon lui, il faut résolument faire preuve d’une véritable volonté pour l’opérationnalité des directives volontaires à travers une gestion durable des ressources de nos territoires pour une prospérité équitable qui améliore les conditions de vie des citoyens.
Pour le cas du Sénégal, le conseiller technique a affirmé que le ministère de l’agriculture s’est engagé depuis 2014 à intégrer les directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans ses stratégies et politiques pour une sécurité alimentaire.
Il faut rappeler que les directives volontaires de la FAO ont été élaborées à travers un processus de consultation inclusif et transparent auquel ont pris part plusieurs pays ainsi que des représentants de la société civile, du monde académique et de la recherche. Ils mettent en exergue un ensemble de bonnes pratiques pour une gouvernance foncière responsable.
El Hadj Diakhaté