Sandiara sera bientôt un véritable pôle économique. La signature par le président Macky Sall du décret portant création de la zone industrielle de cette collectivité locale qui a lancé depuis plus de deux ans son plan local d’émergence (2015-2025) articulé autour de 12 projets, va accélérer la cadence. La création de cette zone industrielle aura, selon le Docteur Serigne Guèye Diop, un important impact économique dans sa localité qui couvre une superficie de 100 ha et va accueillir 60 entreprises. Pour le maire de Sandiara, le chiffre d’affaires annuel attendu est de l’ordre de 700 milliards de francs CFA dans dix ans, soit 15 % du budget national. Le parc industriel de Sandiara sera composé, selon M. Diop, d’usines de dernière génération qui créeront 10.000 à 20.000 emplois qui vont profiter à tout le département de Mbour et à toute la région de Thiès.
« Notre vision, c’est d’intégrer l’industrie à la formation et de faire en sorte que chaque jeune qui grandit à Sandiara puisse y trouver de l’emploi », a dit le maire. C’est pour cette raison, a-t-il souligné, qu’il y a une adéquation entre la zone industrielle de Sandiara et l’enseignement au niveau du lycée technique qui compte treize métiers absorbés dans la zone industrielle.
Le lycée professionnel de Sandiara, permettra, selon Serigne Guèye Diop, de former les jeunes dans les domaines de l’agriculture, de l’industrie, des bâtiments et travaux publics, de l’hôtellerie et des services et résoudre ainsi les questions du chômage des jeunes, l’absence de savoir-faire et aussi les questions d’inégalités sociales.
A.DIEYE
« Notre vision, c’est d’intégrer l’industrie à la formation et de faire en sorte que chaque jeune qui grandit à Sandiara puisse y trouver de l’emploi », a dit le maire. C’est pour cette raison, a-t-il souligné, qu’il y a une adéquation entre la zone industrielle de Sandiara et l’enseignement au niveau du lycée technique qui compte treize métiers absorbés dans la zone industrielle.
Le lycée professionnel de Sandiara, permettra, selon Serigne Guèye Diop, de former les jeunes dans les domaines de l’agriculture, de l’industrie, des bâtiments et travaux publics, de l’hôtellerie et des services et résoudre ainsi les questions du chômage des jeunes, l’absence de savoir-faire et aussi les questions d’inégalités sociales.
A.DIEYE