Le ministre délégué auprès du ministre de l’Economie des finances et du plan, charge du budget a lancé cette invite à l’ouverture des travaux XIIème Assemblée générale de la Fédération interafricaine des Assureurs Conseil. C’était ce lundi 25 juin à Dakar sur le thème central : « Le Courtage d’Assurance face aux Mutations ».
Pour M. Mangara, il est important pour le secteur de s’adapter et d’innover du moment qu’il est question de sortir « du conservatisme et du repli sur soi qui caractérisent les assureurs ».
Pour lui, ce besoin d’adaptation et d’innovation s’impose davantage aux Assureurs Conseils en tant qu’interface entre les clients et les compagnies d’Assurance, preneurs des risques.
Sans oublier leur rôle fondamental d’orienter les consommateurs au mieux de leurs intérêts et besoins de sécuritédans un contexte de mutations, de transformations diverses.
Le secteur des assurances prié de développer une offre inclusive
Pour le ministre du budget, si l’Afrique est bien présent dans la révolution digitale, avec ses mutations auxquelles le secteur des assurances devra s’adapter, il lui parait important de bien identifier l’enjeu prioritaire, lorsque l’on constate que le marché africain représente à peine 1% du marché mondial de l’assurance.
A son sens, ledit secteur doit travailler à développer davantage l’offre d’assurance sur le continent de façon à la rendre plus inclusive, et améliorer en conséquence le taux de pénétration de l’assurance au sein de nos populations.
Dans ce sens, poursuit M. Mangara, les mutations induites par la transformation digitale doivent être perçues essentiellement comme une opportunité de promouvoir une assurance inclusive.
Il considère ainsi que les dernières réformes règlementaires dans notre espace communautaire qu’est la CIMA sont à inscrire dans cette dynamique de positionner davantage le secteur de l’assurance comme acteur de notre développement.
Et de souligner que l’un des défis majeurs auxquels cette industrie devra faire face dans ce contexte, est celui de l’augmentation de la capacité de souscription au niveau de tous les opérateurs, Assureurs, Réassureurs et Assureurs Conseils. Il pense à la capacité technique, technologique mais aussi financière.
Dans cette dynamique, il met le curseur sur des orientations et approches pertinentes à formuler pour y faire face, avec la contribution des partenaires des assureurs conseilsque sont les Assureurs, mais aussi le régulateur.
Il s’est par ailleurs, réjouis de constater qu’au-delà du thème central, des questions aussi fondamentales que sont l’assainissement du secteur de la distribution ou encore la couverture maladie de nos populations, occuperont une bonne place dans ces assises.
Mariama Diallo
Pour M. Mangara, il est important pour le secteur de s’adapter et d’innover du moment qu’il est question de sortir « du conservatisme et du repli sur soi qui caractérisent les assureurs ».
Pour lui, ce besoin d’adaptation et d’innovation s’impose davantage aux Assureurs Conseils en tant qu’interface entre les clients et les compagnies d’Assurance, preneurs des risques.
Sans oublier leur rôle fondamental d’orienter les consommateurs au mieux de leurs intérêts et besoins de sécuritédans un contexte de mutations, de transformations diverses.
Le secteur des assurances prié de développer une offre inclusive
Pour le ministre du budget, si l’Afrique est bien présent dans la révolution digitale, avec ses mutations auxquelles le secteur des assurances devra s’adapter, il lui parait important de bien identifier l’enjeu prioritaire, lorsque l’on constate que le marché africain représente à peine 1% du marché mondial de l’assurance.
A son sens, ledit secteur doit travailler à développer davantage l’offre d’assurance sur le continent de façon à la rendre plus inclusive, et améliorer en conséquence le taux de pénétration de l’assurance au sein de nos populations.
Dans ce sens, poursuit M. Mangara, les mutations induites par la transformation digitale doivent être perçues essentiellement comme une opportunité de promouvoir une assurance inclusive.
Il considère ainsi que les dernières réformes règlementaires dans notre espace communautaire qu’est la CIMA sont à inscrire dans cette dynamique de positionner davantage le secteur de l’assurance comme acteur de notre développement.
Et de souligner que l’un des défis majeurs auxquels cette industrie devra faire face dans ce contexte, est celui de l’augmentation de la capacité de souscription au niveau de tous les opérateurs, Assureurs, Réassureurs et Assureurs Conseils. Il pense à la capacité technique, technologique mais aussi financière.
Dans cette dynamique, il met le curseur sur des orientations et approches pertinentes à formuler pour y faire face, avec la contribution des partenaires des assureurs conseilsque sont les Assureurs, mais aussi le régulateur.
Il s’est par ailleurs, réjouis de constater qu’au-delà du thème central, des questions aussi fondamentales que sont l’assainissement du secteur de la distribution ou encore la couverture maladie de nos populations, occuperont une bonne place dans ces assises.
Mariama Diallo