L'OMVG mobilisera ‘’343,43 millions d’euros pour Sambaganlou et 494,11 millions d’euros pour l’interconnexion du réseau de transport d’énergie électrique de 1677 km reliant ces centrales aux réseaux des quatre pays membres’’, a dit le secrétaire exécutif de l’OMVG, Justino Viera. ''Le réseau comprend 1.677 km de lignes à 225 kV et 15 postes de transformation haute tension/moyenne tension'', a expliqué M. Viera qui se prononçait, mercredi à Dakar, lors de la 3ème table ronde des partenaires techniques et financiers de l'OMVG. La réalisation du réseau d’interconnexion de l’OMVG permettra l’acheminement de l'énergie vers les quatre pays membres que sont la Gambie, la Guinée, la Guinée Bissau et le Sénégal.
Il s’agit, dans un premier temps, de la production de Kaléta (Guinée) dont la mise en service est prévue au courant de l’année 2015, puis celle de Sambaganlou (Sénégal) en 2018. Le projet vise également d’autres échanges d’énergie entre les sociétés nationales d’électricité de l’espace OMVG ou en provenance d’autres producteurs. ‘’Cela augmentera la production et les possibilités d’échange d’électricité ainsi que la sécurité d’alimentation’’, a ajouté le secrétaire exécutif de l’OMVG, précisant que le délai de construction de l’aménagement hydroélectrique de Sambaganlou est de 50 mois. Il a indiqué que les partenaires ont toujours exprimé leur souhait et engagement de voir le projet se réaliser dans les meilleurs délais, en mettant l’accent sur la réalisation du réseau d’interconnexion.
''Pour ce qui concerne les sociétés nationales d’électricité, les informations obtenues des Etats membres de l’OMVG ont permis d’identifier l’ensemble des actions en cours à ce jour par divers bailleurs de fonds et autres opérateurs, pour soutenir les réformes planifiées ou des projets spécifiques visant à renforcer leurs capacités tant techniques qu’institutionnelles, a-t-il indiqué.
D’autre part, a-t-il souligné, d’importants bénéfices sont attendus dans le domaine des télécommunications avec l’interconnexion des quatre pays par la liaison en fibre optique. ‘’Il est important de noter également les possibilités de créer des pôles de développement régionaux et d’améliorer l’aménagement du territoire en profitant des avantages induits par le désenclavement de certaines zones de production grâce aux routes d’accès et à la disponibilité d’une énergie peu coûteuse’’, a relevé Justino Viera.
APS
Il s’agit, dans un premier temps, de la production de Kaléta (Guinée) dont la mise en service est prévue au courant de l’année 2015, puis celle de Sambaganlou (Sénégal) en 2018. Le projet vise également d’autres échanges d’énergie entre les sociétés nationales d’électricité de l’espace OMVG ou en provenance d’autres producteurs. ‘’Cela augmentera la production et les possibilités d’échange d’électricité ainsi que la sécurité d’alimentation’’, a ajouté le secrétaire exécutif de l’OMVG, précisant que le délai de construction de l’aménagement hydroélectrique de Sambaganlou est de 50 mois. Il a indiqué que les partenaires ont toujours exprimé leur souhait et engagement de voir le projet se réaliser dans les meilleurs délais, en mettant l’accent sur la réalisation du réseau d’interconnexion.
''Pour ce qui concerne les sociétés nationales d’électricité, les informations obtenues des Etats membres de l’OMVG ont permis d’identifier l’ensemble des actions en cours à ce jour par divers bailleurs de fonds et autres opérateurs, pour soutenir les réformes planifiées ou des projets spécifiques visant à renforcer leurs capacités tant techniques qu’institutionnelles, a-t-il indiqué.
D’autre part, a-t-il souligné, d’importants bénéfices sont attendus dans le domaine des télécommunications avec l’interconnexion des quatre pays par la liaison en fibre optique. ‘’Il est important de noter également les possibilités de créer des pôles de développement régionaux et d’améliorer l’aménagement du territoire en profitant des avantages induits par le désenclavement de certaines zones de production grâce aux routes d’accès et à la disponibilité d’une énergie peu coûteuse’’, a relevé Justino Viera.
APS