chroniques
Plusieurs banques sud-africaines ont été escroquées tout au long de l’année en cours, par un syndicat criminel spécialisé dans la fraude sur les cartes de crédit, a-t-on appris mercredi 16 octobre de la Payments Association of South Africa (Pasa).
Toutes les banques sont comptées au rang de victimes de cette fraude géante, y compris, le leader du secteur,Standard Bank, mais aussi ses rivales de moindre envergure, que sont Barclays Africa Group, FistRand etNedbank Group. « L’affaire était pour sûr bien montée », a commenté Walter Volker, le président exécutif de la PASA, qui a aussi expliqué que les fraudeurs ont tout d’abord introduit un virus dénommé « Dexter » dans les machines à carte présentes dans les restaurants.
Avec l’aide de ce virus il n’avaient plus qu’à prélever les coordonnées des propriétaires de ces cartes et les utiliser pour retirer de l’argent ou les revendre à d’autres fraudeurs. Le montant exact de la fraude n’a pas été divulgué et des banques comme Barclays Africa ou Firstbank jointes par les médias sud-africains n’ont pas accepté de commenter la situation. Standard Bank la plus grosse banque du pays à fait savoir qu’elle avait pris des mesures pour limiter les dégâts, une fois qu’elle a constaté que certaines de ses cartes avaient été affectées.
Chez Nedbank, on affirme aussi que certains clients ont été les victimes de ce crime organisé, mais précise que le nombre de cas relevés était « assez limité ». Le problème semble plus complexe et global, car la PASA fait savoir que les fraudes à la carte ont augmenté ces deux dernières années en Afrique du Sud, malgré un effort effectué en vue de remplacer les traditionnelles cartes magnétiques par des puces plus sécurisées.
Ecofin
Toutes les banques sont comptées au rang de victimes de cette fraude géante, y compris, le leader du secteur,Standard Bank, mais aussi ses rivales de moindre envergure, que sont Barclays Africa Group, FistRand etNedbank Group. « L’affaire était pour sûr bien montée », a commenté Walter Volker, le président exécutif de la PASA, qui a aussi expliqué que les fraudeurs ont tout d’abord introduit un virus dénommé « Dexter » dans les machines à carte présentes dans les restaurants.
Avec l’aide de ce virus il n’avaient plus qu’à prélever les coordonnées des propriétaires de ces cartes et les utiliser pour retirer de l’argent ou les revendre à d’autres fraudeurs. Le montant exact de la fraude n’a pas été divulgué et des banques comme Barclays Africa ou Firstbank jointes par les médias sud-africains n’ont pas accepté de commenter la situation. Standard Bank la plus grosse banque du pays à fait savoir qu’elle avait pris des mesures pour limiter les dégâts, une fois qu’elle a constaté que certaines de ses cartes avaient été affectées.
Chez Nedbank, on affirme aussi que certains clients ont été les victimes de ce crime organisé, mais précise que le nombre de cas relevés était « assez limité ». Le problème semble plus complexe et global, car la PASA fait savoir que les fraudes à la carte ont augmenté ces deux dernières années en Afrique du Sud, malgré un effort effectué en vue de remplacer les traditionnelles cartes magnétiques par des puces plus sécurisées.
Ecofin
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