La Banque africaine de développement (BAD), l’un des principaux investisseurs dans le domaine de l’agriculture sur le continent, remplit ses objectifs quant au déploiement de 5,5 milliards de dollars sur cinq ans jusqu’en 2015, comme le révèle l’édition 2016 de la Revue sur l’efficacité du développement .
Aujourd’hui la BAD entend augmenter ses résultats grâce à sa nouvelle stratégie en vigueur jusqu’en 2025 en investissant 24 milliards de dollars et en stimulant l’investissement global par des prises de participation et le recours à des instruments de crédit et de risque.
La nouvelle stratégie Nourrir l’Afrique de la BAD est l’une de ses Cinq grandes priorités ; elle vise à mettre fin à la pauvreté, à la faim et à la malnutrition d’ici 2025 et à faire du continent un exportateur net de denrées alimentaires.
La Banque y parviendra en se concentrant sur certains aliments et sur certaines zones de croissance du blé en Afrique du Nord à l’aquaculture partout ailleurs, et en élevant au niveau mondial les chaînes de valeur des produits alimentaires africains par la construction de marchés, la mise en place d’échanges de produits et la liaison entre agriculteurs et acheteurs.
La stratégie Nourrir l’Afrique soutiendra l’agro-industrie et l’innovation, l’agriculture intelligente face au changement climatique et construira des routes, des infrastructures énergétiques et hydrauliques.
Pathé TOURE
Aujourd’hui la BAD entend augmenter ses résultats grâce à sa nouvelle stratégie en vigueur jusqu’en 2025 en investissant 24 milliards de dollars et en stimulant l’investissement global par des prises de participation et le recours à des instruments de crédit et de risque.
La nouvelle stratégie Nourrir l’Afrique de la BAD est l’une de ses Cinq grandes priorités ; elle vise à mettre fin à la pauvreté, à la faim et à la malnutrition d’ici 2025 et à faire du continent un exportateur net de denrées alimentaires.
La Banque y parviendra en se concentrant sur certains aliments et sur certaines zones de croissance du blé en Afrique du Nord à l’aquaculture partout ailleurs, et en élevant au niveau mondial les chaînes de valeur des produits alimentaires africains par la construction de marchés, la mise en place d’échanges de produits et la liaison entre agriculteurs et acheteurs.
La stratégie Nourrir l’Afrique soutiendra l’agro-industrie et l’innovation, l’agriculture intelligente face au changement climatique et construira des routes, des infrastructures énergétiques et hydrauliques.
Pathé TOURE