Les avis ont convergé sur la nécessité de redoubler d’efforts en vue d’atteindre les objectifs fixés il y a vingt ans maintenant dans le cadre de la Politique agricole de l’Uemoa.
La mutualisation des efforts dans le domaine de la production d’engrais, de la mise à disposition de matériels agricole, de la formation, entre autres, reste plus qu’une nécessité si l’on en croit les différentes interventions liées au sujet dudit panel.
Cela, a plus forte raison que la valeur des produits alimentaires importés par la région, selon un des intervenants, est évaluée entre 60 à 70 milliards de dollars.
D’un autre point de vue, il a été relevé l’importance de mettre à la disposition des États « des cadres de qualité, bien formés et d’aider ceux qui sont sur le terrain d’avoir des compétences suffisantes et nouvelles pour réactiver leurs activités ».
La question liée aux « indicateurs de performance » a été posée pour pouvoir disposer d’outils d’évaluation par rapport aux objectifs visés dans le cadre de la politique agricole de l’Union.
« On compare toujours ce qu’on a produit en année N à ce qui se passait en année N - 1. Ce n’est pas une mauvaise chose. Mais, qu’est-ce qu’on s’était fixé comme objectif pour l’année N. C’est ce qu’on doit dire », explique un des panelistes, pour faciliter, dit-il, l’évaluation afin de prendre les mesures nécessaires pour l’avenir.
Il ressort de ses propos qu’il faut, dans le cadre de cette Politique agricole de l’Uemoa, se poser des questions du genre : « qu’est-ce qu’on entend produire comme riz dans 5 ans pour toute la sous-région ? »
En ce sens, il soutient l’idée selon laquelle les acteurs de la politique agricole gagneraient à se fixer des objectifs en quantité de production et de se donner les moyens de les atteindre.
Il ressort de ces échanges également l’importance de favoriser « une intégration régionale que cela soit en termes de pesticides, de semences etc ».
Le panel a permis de souligner aussi que le problème est que « chacun veut faire la même chose alors qu’il est important que les institutions d’intégration puissent mieux structurer leurs modes d’intervention ».
Bassirou MBAYE, Envoyé spécial à Ouagadougou
La mutualisation des efforts dans le domaine de la production d’engrais, de la mise à disposition de matériels agricole, de la formation, entre autres, reste plus qu’une nécessité si l’on en croit les différentes interventions liées au sujet dudit panel.
Cela, a plus forte raison que la valeur des produits alimentaires importés par la région, selon un des intervenants, est évaluée entre 60 à 70 milliards de dollars.
D’un autre point de vue, il a été relevé l’importance de mettre à la disposition des États « des cadres de qualité, bien formés et d’aider ceux qui sont sur le terrain d’avoir des compétences suffisantes et nouvelles pour réactiver leurs activités ».
La question liée aux « indicateurs de performance » a été posée pour pouvoir disposer d’outils d’évaluation par rapport aux objectifs visés dans le cadre de la politique agricole de l’Union.
« On compare toujours ce qu’on a produit en année N à ce qui se passait en année N - 1. Ce n’est pas une mauvaise chose. Mais, qu’est-ce qu’on s’était fixé comme objectif pour l’année N. C’est ce qu’on doit dire », explique un des panelistes, pour faciliter, dit-il, l’évaluation afin de prendre les mesures nécessaires pour l’avenir.
Il ressort de ses propos qu’il faut, dans le cadre de cette Politique agricole de l’Uemoa, se poser des questions du genre : « qu’est-ce qu’on entend produire comme riz dans 5 ans pour toute la sous-région ? »
En ce sens, il soutient l’idée selon laquelle les acteurs de la politique agricole gagneraient à se fixer des objectifs en quantité de production et de se donner les moyens de les atteindre.
Il ressort de ces échanges également l’importance de favoriser « une intégration régionale que cela soit en termes de pesticides, de semences etc ».
Le panel a permis de souligner aussi que le problème est que « chacun veut faire la même chose alors qu’il est important que les institutions d’intégration puissent mieux structurer leurs modes d’intervention ».
Bassirou MBAYE, Envoyé spécial à Ouagadougou