Ce dernier rapport analyse les engagements financiers pris par ces BMD en soutien à l'atténuation et l'adaptation climatiques. Les informations qu'il contient sur la désagrégation de l'affectation des fonds par secteur et par région et la répartition entre opérations respectives du secteur privé et du secteur public sont plus détaillées que celle des éditions précédentes.
Sur le total de 24 milliards de dollars US en financements climatiques consentis en 2013, 80 %, soit 19 milliards de dollars, a été affectée à l'atténuation, et 20 %, soit près de 5 milliards de dollars, a été affectée à l'adaptation. Sur cet engagement total, une part de 9 %, représentant 2 milliards de dollars, provenait de ressources externes, notamment de l'assistance bilatérale ou de bailleurs multilatéraux.
À l'issue du lancement du rapport, Alex Rugamba, directeur du Département de l'énergie, de l'environnement et du changement climatique de la BAD, a déclaré : « Cette édition du rapport annuel sur le financement climatique témoigne de notre détermination continue de protéger l'environnement, tout en favorisant le développement socioéconomique des pays membres régionaux de la Banque. Les investissements de la BAD en projets de développement à faible émission de carbone se sont élevés à 3,6 milliards de dollars US entre 2011 et 2013, tandis que ceux consacrés à l'adaptation ont totalisé 1,5 milliard de dollars US pendant la même période. En dépit de nos progres et ceux de nos BMD partenaires, le montant du financement climatique qui a pu être mobilisé ne suffit toujours pas pour relever le défi. Un effort global et concerté s'imposera pour mobiliser un volume suffisant de ressources en vue de financer l'action climatique ».
Il ressort du rapport que la couverture régionale en 2013 était bien équilibrée : deux régions (Asie de l'Est et Pacifique, Europe hors UE et Asie centrale) ont chacune reçu environ 20 % du financement climatique total mobilisé, et quatre régions (Asie du Sud, Afrique subsaharienne, Amérique latine et Caraïbes, et nouveaux États membres de l'UE) ont chacune reçu une part de 10 à 15 %. Sur le continent africain, la BAD ne s'est pas seulement attaquée aux défis du climat ; elle a aussi saisi les opportunités générées par le changement climatique pour promouvoir le développement résilient au climat et le développement à faible émission de carbone dans les pays africains.
La BAD s'est engagée à investir 9,6 milliards de dollars US entre 2011 et 2015 en activités climatiques intelligentes. Ayant consenti des investissements de 5,2 milliards US au cours de la période 2011-2013, elle est en bonne voie pour tenir cet engagement, voire même de le dépasser, grâce à la multiplication de ses investissements.
African Development Bank Group
Sur le total de 24 milliards de dollars US en financements climatiques consentis en 2013, 80 %, soit 19 milliards de dollars, a été affectée à l'atténuation, et 20 %, soit près de 5 milliards de dollars, a été affectée à l'adaptation. Sur cet engagement total, une part de 9 %, représentant 2 milliards de dollars, provenait de ressources externes, notamment de l'assistance bilatérale ou de bailleurs multilatéraux.
À l'issue du lancement du rapport, Alex Rugamba, directeur du Département de l'énergie, de l'environnement et du changement climatique de la BAD, a déclaré : « Cette édition du rapport annuel sur le financement climatique témoigne de notre détermination continue de protéger l'environnement, tout en favorisant le développement socioéconomique des pays membres régionaux de la Banque. Les investissements de la BAD en projets de développement à faible émission de carbone se sont élevés à 3,6 milliards de dollars US entre 2011 et 2013, tandis que ceux consacrés à l'adaptation ont totalisé 1,5 milliard de dollars US pendant la même période. En dépit de nos progres et ceux de nos BMD partenaires, le montant du financement climatique qui a pu être mobilisé ne suffit toujours pas pour relever le défi. Un effort global et concerté s'imposera pour mobiliser un volume suffisant de ressources en vue de financer l'action climatique ».
Il ressort du rapport que la couverture régionale en 2013 était bien équilibrée : deux régions (Asie de l'Est et Pacifique, Europe hors UE et Asie centrale) ont chacune reçu environ 20 % du financement climatique total mobilisé, et quatre régions (Asie du Sud, Afrique subsaharienne, Amérique latine et Caraïbes, et nouveaux États membres de l'UE) ont chacune reçu une part de 10 à 15 %. Sur le continent africain, la BAD ne s'est pas seulement attaquée aux défis du climat ; elle a aussi saisi les opportunités générées par le changement climatique pour promouvoir le développement résilient au climat et le développement à faible émission de carbone dans les pays africains.
La BAD s'est engagée à investir 9,6 milliards de dollars US entre 2011 et 2015 en activités climatiques intelligentes. Ayant consenti des investissements de 5,2 milliards US au cours de la période 2011-2013, elle est en bonne voie pour tenir cet engagement, voire même de le dépasser, grâce à la multiplication de ses investissements.
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