«Notre événement s’inscrit dans une dynamique de communication à l’endroit des différentes parties prenantes, et également du grand public, pour partager sur l’utilité de la dématérialisation et son impact sur les performances de prédédouanement et de dédouanement», souligne Oumar Diallo.
Selon le Dg des douanes, l’histoire de l’informatique douanière est rythmée par l’excellence du partenariat public privé, qui constitue le socle sur lequel se sont bâtis les différents acquis engrangés depuis 1990 avec le lancement de GAINDE, en passant par 2004 avec le lancement de ORBUS, et le lancement des premiers jalons de la dématérialisation en 2011, entre autres événements.
«Les différents témoignages recueillis lors des événements internationaux sur l’expérience sénégalaise en matière de dématérialisation sont assez révélateurs des performances que nous avons accomplies dans le temps», ajoute-t-il.
Pour Oumar Diallo, ce qui fait notre force réside dans la particularité de notre démarche pour la dématérialisation des formalités du commerce extérieur.
«Nous avons compris très tôt qu’il ne s’agissait pas seulement de digitaliser les formalités de prédédouanement et de dédouanement, mais de construire une véritable communauté d’hommes et de femmes qui se sont appropriées cet outil et qui le managent pour créer de la valeur, et réaliser les performances attendues dans les formalités du commerce extérieur», informe-t-il.
Dans la foulée, Oumar Diallo a magnifié la collaboration constante et exemplaire entre le secteur privé, la douane et les autres administrations publiques qui interviennent dans les formalités du commerce extérieur.
Cette symbiose entre ces différentes administrations publiques et privées est un atout de taille pour la compétitivité de notre économie nationale en générale, et pour l’environnement du commerce extérieur en particulier.
«Cette synergie d’action facilite l’intervention des partenaires techniques et financiers, qui y trouvent un terreau fertile pour promouvoir la modernisation et la performance de notre environnement du commerce extérieur», conclut-il.
Pathé TOURE
Selon le Dg des douanes, l’histoire de l’informatique douanière est rythmée par l’excellence du partenariat public privé, qui constitue le socle sur lequel se sont bâtis les différents acquis engrangés depuis 1990 avec le lancement de GAINDE, en passant par 2004 avec le lancement de ORBUS, et le lancement des premiers jalons de la dématérialisation en 2011, entre autres événements.
«Les différents témoignages recueillis lors des événements internationaux sur l’expérience sénégalaise en matière de dématérialisation sont assez révélateurs des performances que nous avons accomplies dans le temps», ajoute-t-il.
Pour Oumar Diallo, ce qui fait notre force réside dans la particularité de notre démarche pour la dématérialisation des formalités du commerce extérieur.
«Nous avons compris très tôt qu’il ne s’agissait pas seulement de digitaliser les formalités de prédédouanement et de dédouanement, mais de construire une véritable communauté d’hommes et de femmes qui se sont appropriées cet outil et qui le managent pour créer de la valeur, et réaliser les performances attendues dans les formalités du commerce extérieur», informe-t-il.
Dans la foulée, Oumar Diallo a magnifié la collaboration constante et exemplaire entre le secteur privé, la douane et les autres administrations publiques qui interviennent dans les formalités du commerce extérieur.
Cette symbiose entre ces différentes administrations publiques et privées est un atout de taille pour la compétitivité de notre économie nationale en générale, et pour l’environnement du commerce extérieur en particulier.
«Cette synergie d’action facilite l’intervention des partenaires techniques et financiers, qui y trouvent un terreau fertile pour promouvoir la modernisation et la performance de notre environnement du commerce extérieur», conclut-il.
Pathé TOURE