Les communicants des ministères sectoriels tels que la Santé, les Finances, entre autres mais aussi du Mouvement Citoyen, du Forum Civil, de la Médiature de la République et d’ONU Femme, ont bénéficié de session de renforcement dans le domaine de la communication plus précisément sur les bonnes pratiques et les enjeux de la communication dans les institutions.
L’opportunité de cette formation s’explique par le fait que les recommandations issues du diagnostic des fonctions de communication interne et externe des ministères et institutions représentés. C’est ce qui justifie l’organisation de cet atelier aux yeux de Marie Françoise BOISSY, chargée de communication de la Coopération Sénégal Luxembourg.
Déroulée selon une approche participative, la formation a été axée sur l’appréhension du concept de capitalisation d’expériences. Dans ce module, il s’agissait de faire comprendre aux participants la signification et la portée, les principes et les démarches qui sous-tendent une bonne capitalisation des expériences.
La formation a permis aux différents participants de se rendre compte de l’existence de bonnes pratiques en matière de communication dans leurs institutions respectives. En guise d’exemple, le ministère de la Santé et de l’Action sociale, dans le cadre de la gestion de la crise Ebola, a effectué une bonne campagne avec comme levier de communication la transparence. Cependant, la culture de capitalisation de ces bonnes pratiques n’est pas ancrée dans les mécanismes de suivi-évaluation des stratégies de communication. L’enjeu de la capitalisation est de générer de nouvelles connaissances à partir de la bonne pratique pour inspirer les politiques publiques et institutionnelles.
Pathé TOURE
L’opportunité de cette formation s’explique par le fait que les recommandations issues du diagnostic des fonctions de communication interne et externe des ministères et institutions représentés. C’est ce qui justifie l’organisation de cet atelier aux yeux de Marie Françoise BOISSY, chargée de communication de la Coopération Sénégal Luxembourg.
Déroulée selon une approche participative, la formation a été axée sur l’appréhension du concept de capitalisation d’expériences. Dans ce module, il s’agissait de faire comprendre aux participants la signification et la portée, les principes et les démarches qui sous-tendent une bonne capitalisation des expériences.
La formation a permis aux différents participants de se rendre compte de l’existence de bonnes pratiques en matière de communication dans leurs institutions respectives. En guise d’exemple, le ministère de la Santé et de l’Action sociale, dans le cadre de la gestion de la crise Ebola, a effectué une bonne campagne avec comme levier de communication la transparence. Cependant, la culture de capitalisation de ces bonnes pratiques n’est pas ancrée dans les mécanismes de suivi-évaluation des stratégies de communication. L’enjeu de la capitalisation est de générer de nouvelles connaissances à partir de la bonne pratique pour inspirer les politiques publiques et institutionnelles.
Pathé TOURE