Alassane Dramane Ouattara, le président de la république de Côte d'Ivoire
Après des taux de croissance du PIB de 9,8 % en 2012, 9 % en 2013 et une perspective de 9% à 10% en 2014 et 2015, c’est toute l’Union économique et monétaire ouest africaine qui en profite.
La croissance de la première économie de la sous- région est entretenue par les investissements dans les infrastructures et les secteurs productifs. “Le taux d’investissement qui était de 13,7% du PIB en 2012 a atteint 16,5% du PIB en 2013 avec un objectif de 20% du PIB en 2014 et 23,5% du PIB en 2015. En 2013, 62 % des investissements effectués dans le pays relèvent du secteur privé. L’objectif est d’atteindre un taux de 65 % en 2015 et 70 % en 2020.”, relève le premier ministre Daniel Kablan Duncan en marge du forum sur les PPP tenu à Àbidjan du 19 au 21 novembre 2014.
Cet élan devra se poursuivre, souligne-t-il: “C’est pourquoi, le Gouvernement a approuvé à la session du Conseil des Ministres du 03 septembre 2014 plus de 94 projets d’envergure dont 89 ont été évalués pour un montant total de plus de 12 800 milliards de F CFA. Sur ces projets, 45 seront réalisés dans le cadre du PPP pour un montant estimé à plus de 7800 milliards de F CFA, visant à résorber les contraintes et goulots d’étranglements liés au manque d’infrastructures”.
Ce besoin potentiel de financement d’infrastructures par les PPP, s’étend au niveau sous régional où de nombreux projets intégrateurs ont été présentés par les chefs d’Etat de l’UEMOA lors de la récente Conférence Internationale des Investisseurs à DUBAÏ. Ces projets concernent entre autres :
✓ L’autoroute Yamoussoukro – Ouagadougou
✓ la boucle ferroviaire Abidjan-Ouagadougou-Niamey-Cotonou
✓ l’autoroute Abidjan – Lagos et
✓ le port sec de Ferkessédougou.
Ce sont au total 17 grands projets intégrateurs, d’un coût global de 11.000 milliards de FCFA qui ouvrent de nouvelles perspectives aux PPP en Afrique de l’Ouest.
financialafrik
La croissance de la première économie de la sous- région est entretenue par les investissements dans les infrastructures et les secteurs productifs. “Le taux d’investissement qui était de 13,7% du PIB en 2012 a atteint 16,5% du PIB en 2013 avec un objectif de 20% du PIB en 2014 et 23,5% du PIB en 2015. En 2013, 62 % des investissements effectués dans le pays relèvent du secteur privé. L’objectif est d’atteindre un taux de 65 % en 2015 et 70 % en 2020.”, relève le premier ministre Daniel Kablan Duncan en marge du forum sur les PPP tenu à Àbidjan du 19 au 21 novembre 2014.
Cet élan devra se poursuivre, souligne-t-il: “C’est pourquoi, le Gouvernement a approuvé à la session du Conseil des Ministres du 03 septembre 2014 plus de 94 projets d’envergure dont 89 ont été évalués pour un montant total de plus de 12 800 milliards de F CFA. Sur ces projets, 45 seront réalisés dans le cadre du PPP pour un montant estimé à plus de 7800 milliards de F CFA, visant à résorber les contraintes et goulots d’étranglements liés au manque d’infrastructures”.
Ce besoin potentiel de financement d’infrastructures par les PPP, s’étend au niveau sous régional où de nombreux projets intégrateurs ont été présentés par les chefs d’Etat de l’UEMOA lors de la récente Conférence Internationale des Investisseurs à DUBAÏ. Ces projets concernent entre autres :
✓ L’autoroute Yamoussoukro – Ouagadougou
✓ la boucle ferroviaire Abidjan-Ouagadougou-Niamey-Cotonou
✓ l’autoroute Abidjan – Lagos et
✓ le port sec de Ferkessédougou.
Ce sont au total 17 grands projets intégrateurs, d’un coût global de 11.000 milliards de FCFA qui ouvrent de nouvelles perspectives aux PPP en Afrique de l’Ouest.
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