« Ce rapport est le premier résultat de la collaboration entre le Bureau de la Cea pour l'Afrique du Nord et Nkc African economics. À travers ce document, nous partageons des exemples de politiques réussies de création d'emplois dans l'espoir qu'ils constitueront à leur tour des sources d’information et d’enseignements pour d’autres pays de la région », a déclaré Amal Elbeshbishi, chargée des affaires économiques en charge des questions de l'emploi au Bureau de la Cea pour l'Afrique du Nord.
Le nouveau rapport révèle que « l'accent mis sur le développement des compétences et l'éducation améliore non seulement l'employabilité, il fournit également aux jeunes les outils nécessaires pour réussir dans leurs efforts d'entrepreneuriat. Pendant ce temps, à l’heure où les pressions fiscales s’intensifient du fait de la pandémie de la Covid-19, il devient de plus en plus impératif [pour les gouvernements] de s'associer au secteur privé pour mettre en œuvre des initiatives de création d'emplois », a indiqué pour sa part Cobus de Hart, responsable du conseil chez Nkc African economics.
Autres points clés révélés par le rapport sur les « Meilleures pratiques en matière de création d'emplois : enseignements de l'Afrique » :l'importance d'améliorer l'employabilité des jeunes et la participation des femmes au marché du travail ; l’alignement des objectifs d'emploi du secteur public et des objectifs commerciaux du secteur privé est un facteur déterminant de succès ; l'agriculture et l'éducation restent au cœur des initiatives de création d'emploi menées à travers l'Afrique. En plus de générer des emplois, le ciblage du secteur manufacturier, notamment par la génération des compétences nécessaires, peut jouer un rôle déterminant dans la diversification des économies et renforcer la capacité des pays à tirer parti de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).
Les conclusions du rapport « Meilleures pratiques en matière de création d'emplois : enseignements de l'Afrique » sont fondées sur l’étude de 34 initiatives pour l'emploi menées dans 15 pays africains : Afrique du Sud, Algérie, Angola, Cameroun, Côte d'Ivoire, Égypte, Éthiopie, Ghana, Kenya, Maroc, Maurice, Nigéria, Rwanda, Tanzanie et Tunisie.
Adou Faye
Le nouveau rapport révèle que « l'accent mis sur le développement des compétences et l'éducation améliore non seulement l'employabilité, il fournit également aux jeunes les outils nécessaires pour réussir dans leurs efforts d'entrepreneuriat. Pendant ce temps, à l’heure où les pressions fiscales s’intensifient du fait de la pandémie de la Covid-19, il devient de plus en plus impératif [pour les gouvernements] de s'associer au secteur privé pour mettre en œuvre des initiatives de création d'emplois », a indiqué pour sa part Cobus de Hart, responsable du conseil chez Nkc African economics.
Autres points clés révélés par le rapport sur les « Meilleures pratiques en matière de création d'emplois : enseignements de l'Afrique » :l'importance d'améliorer l'employabilité des jeunes et la participation des femmes au marché du travail ; l’alignement des objectifs d'emploi du secteur public et des objectifs commerciaux du secteur privé est un facteur déterminant de succès ; l'agriculture et l'éducation restent au cœur des initiatives de création d'emploi menées à travers l'Afrique. En plus de générer des emplois, le ciblage du secteur manufacturier, notamment par la génération des compétences nécessaires, peut jouer un rôle déterminant dans la diversification des économies et renforcer la capacité des pays à tirer parti de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).
Les conclusions du rapport « Meilleures pratiques en matière de création d'emplois : enseignements de l'Afrique » sont fondées sur l’étude de 34 initiatives pour l'emploi menées dans 15 pays africains : Afrique du Sud, Algérie, Angola, Cameroun, Côte d'Ivoire, Égypte, Éthiopie, Ghana, Kenya, Maroc, Maurice, Nigéria, Rwanda, Tanzanie et Tunisie.
Adou Faye