«Je me réjouis de ce que la Nouvelle banque de développement ait entrepris d'investir dans le secteur énergétique et je voudrais vous inviter à nous rejoindre dans cette tâche colossale qui est d'éclairer l'Afrique et de l'alimenter en énergie», a déclaré Adesina à l'occasion des deuxièmes assemblées annuelles de la NBD, qui se sont tenues à New Delhi, le 1er avril 2017.
Saluant la rapidité du démarrage et l'approbation de projets énergétiques de la NBD, dont certains en Afrique, pour un total de 1,5 milliard de dollars EU, le président de la BAD l'a invitée à faire davantage pour le continent africain, qui a besoin de toute l'aide possible pour accélérer sa croissance et son développement économiques.
Pour la BAD et l'Afrique, les partenariats s'avèrent d'autant plus nécessaires dans le secteur des infrastructures énergétiques, qui devrait être une priorité urgente au vu des plus 645 millions d'Africains dépourvus d'accès à l'électricité, soit plus de la moitié de la population du continent.
Le New Deal vise à atteindre l'objectif de l'accès universel à l'électricité dans les dix ans. La Banque projette d'investir 12 milliards de dollars EU dans le secteur énergétique au cours des cinq prochaines années et de réunir 40 à 50 milliards de dollars EU de fonds supplémentaires auprès du secteur privé.
Par ailleurs, le président Adesina a annoncé que la BAD lancera cette année le Forum africain des investissements, afin de tirer parti des fonds souverains africains et mondiaux pour attirer les investisseurs institutionnels et de faire en sorte que les infrastructures se muent en une catégorie d'actifs à même de s'attirer les faveurs du secteur privé.
La NBD a été créée en 2014, avec un capital social de 100 milliards de dollars EU souscrit par le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, réunis sous le nom de groupe des pays BRICS, qui représentent 42 % environ de la population mondiale.
Pathé TOURE
Saluant la rapidité du démarrage et l'approbation de projets énergétiques de la NBD, dont certains en Afrique, pour un total de 1,5 milliard de dollars EU, le président de la BAD l'a invitée à faire davantage pour le continent africain, qui a besoin de toute l'aide possible pour accélérer sa croissance et son développement économiques.
Pour la BAD et l'Afrique, les partenariats s'avèrent d'autant plus nécessaires dans le secteur des infrastructures énergétiques, qui devrait être une priorité urgente au vu des plus 645 millions d'Africains dépourvus d'accès à l'électricité, soit plus de la moitié de la population du continent.
Le New Deal vise à atteindre l'objectif de l'accès universel à l'électricité dans les dix ans. La Banque projette d'investir 12 milliards de dollars EU dans le secteur énergétique au cours des cinq prochaines années et de réunir 40 à 50 milliards de dollars EU de fonds supplémentaires auprès du secteur privé.
Par ailleurs, le président Adesina a annoncé que la BAD lancera cette année le Forum africain des investissements, afin de tirer parti des fonds souverains africains et mondiaux pour attirer les investisseurs institutionnels et de faire en sorte que les infrastructures se muent en une catégorie d'actifs à même de s'attirer les faveurs du secteur privé.
La NBD a été créée en 2014, avec un capital social de 100 milliards de dollars EU souscrit par le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, réunis sous le nom de groupe des pays BRICS, qui représentent 42 % environ de la population mondiale.
Pathé TOURE