Le ministre en charge de la jeunesse, de l’entrepreneuriat et de l’emploi qui a présidé la rencontre a indiqué que la structuration du programme ‘’PSE Priorité jeunesse’’ « devra, à terme, permettre de fixer de manière coordonnée les interventions de l’État et des partenaires techniques et financiers, dans une perspective d’amélioration des conditions de vie des jeunes »
Pape Malick Ndour a précisé qu’il s’agit, de manière spécifique, de « doter le Sénégal d’un cadre de référence pour améliorer les conditions de vie des jeunes et des adolescents, et d’« assurer une meilleure articulation » des politiques destinées aux jeunes.
A l’en croire, les orientations du programme Pse Priorité jeunesse sont articulées autour des trois dimensions.
En ce sens, a-il relevé qu’il y a une dimension éducative assurant le développement intégral du jeune par la promotion d’une éducation de qualité centrée sur les besoins de développement, par l’acquisition de compétences leur permettant de pouvoir progresser, avec responsabilité, vers l’âge adulte.
Il y aura également, dit-il, une dimension sociale et économique favorisant l’épanouissement (…) des jeunes, sans discrimination de genre ou de territoire, par l’accès équitable à un emploi décent.
Il a également cité le volet institutionnel garantissant la coordination et la mise en cohérence des principales stratégies de promotion sociale et économique en faveur des jeunes.
Par ailleurs, l’ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal s’est réjoui de la tenue de cet atelier avant de souligner que l’Union européenne (Ue) « a mis la jeunesse au cœur de son partenariat avec le Sénégal ».
Jean-Marc Pisani a confié qu’à peu près 1/3 des subventions l’Union européenne est dédié à la jeunesse, pour la période 2021-2024. A ce titre, il dit estimer que la structuration du Programme Pse priorité jeune est très utile, car « il nous permettra d’ajuster, dans les mois à venir, notre offre pour la jeunesse ».
« Depuis 2012, d’importantes initiatives visant à accompagner la jeunesse ont été mises en place par le gouvernement », rappelle le directeur général du Bos/Pse.
Toutefois, El Ousseyni Kane déclare qu’il est ressorti des constats de l’enquête de perception qu’ils ont effectuée auprès de la jeunesse, qu’en dépit de toutes ces actions, les problèmes et les besoins persistent et soulèvent ainsi des questions liées à l’efficacité et à la pertinence des options politiques et stratégiques concernant les jeunes.
50% des jeunes répondants sont satisfaits des politiques et stratégies de l’Etat
L’enquête menée sur un échantillon de 3000 jeunes dont 1725 répondants soit (57%), dans les 14 régions du pays ont montré que 66% des jeunes et 73% de la tranche d’âge 25-35 ont connaissance des politiques et stratégies mises en place par l’Etat en faveur de la jeunesse.
50% des jeunes qui ont à l’enquête disent être satisfaits des politiques et stratégies mises en place par l’Etat en leur faveur. Le taux de satisfaction est plus élevé à Fatick, Sédhiou, Diourbel et Dakar. L’enquête révèle aussi que les taux de satisfaction les plus faibles sont enregistrés à Kédougou, Saint-Louis et Zinguinchor.
46% des jeunes sénégalais qui ont répondu aux questions des équipes du Bos/Pse disent que les programmes éducatifs au Sénégal ne préparent pas adéquatement les jeunes au marché du travail d’où un taux de satisfaction de 41% quant à l’accès aux opportunités.
Le taux d’efficacité des politiques mises en œuvre pour l’accès à l’emploi et à l’entreprenariat est en deçà de 50% selon les répondants.
Bassirou MBAYE
Pape Malick Ndour a précisé qu’il s’agit, de manière spécifique, de « doter le Sénégal d’un cadre de référence pour améliorer les conditions de vie des jeunes et des adolescents, et d’« assurer une meilleure articulation » des politiques destinées aux jeunes.
A l’en croire, les orientations du programme Pse Priorité jeunesse sont articulées autour des trois dimensions.
En ce sens, a-il relevé qu’il y a une dimension éducative assurant le développement intégral du jeune par la promotion d’une éducation de qualité centrée sur les besoins de développement, par l’acquisition de compétences leur permettant de pouvoir progresser, avec responsabilité, vers l’âge adulte.
Il y aura également, dit-il, une dimension sociale et économique favorisant l’épanouissement (…) des jeunes, sans discrimination de genre ou de territoire, par l’accès équitable à un emploi décent.
Il a également cité le volet institutionnel garantissant la coordination et la mise en cohérence des principales stratégies de promotion sociale et économique en faveur des jeunes.
Par ailleurs, l’ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal s’est réjoui de la tenue de cet atelier avant de souligner que l’Union européenne (Ue) « a mis la jeunesse au cœur de son partenariat avec le Sénégal ».
Jean-Marc Pisani a confié qu’à peu près 1/3 des subventions l’Union européenne est dédié à la jeunesse, pour la période 2021-2024. A ce titre, il dit estimer que la structuration du Programme Pse priorité jeune est très utile, car « il nous permettra d’ajuster, dans les mois à venir, notre offre pour la jeunesse ».
« Depuis 2012, d’importantes initiatives visant à accompagner la jeunesse ont été mises en place par le gouvernement », rappelle le directeur général du Bos/Pse.
Toutefois, El Ousseyni Kane déclare qu’il est ressorti des constats de l’enquête de perception qu’ils ont effectuée auprès de la jeunesse, qu’en dépit de toutes ces actions, les problèmes et les besoins persistent et soulèvent ainsi des questions liées à l’efficacité et à la pertinence des options politiques et stratégiques concernant les jeunes.
50% des jeunes répondants sont satisfaits des politiques et stratégies de l’Etat
L’enquête menée sur un échantillon de 3000 jeunes dont 1725 répondants soit (57%), dans les 14 régions du pays ont montré que 66% des jeunes et 73% de la tranche d’âge 25-35 ont connaissance des politiques et stratégies mises en place par l’Etat en faveur de la jeunesse.
50% des jeunes qui ont à l’enquête disent être satisfaits des politiques et stratégies mises en place par l’Etat en leur faveur. Le taux de satisfaction est plus élevé à Fatick, Sédhiou, Diourbel et Dakar. L’enquête révèle aussi que les taux de satisfaction les plus faibles sont enregistrés à Kédougou, Saint-Louis et Zinguinchor.
46% des jeunes sénégalais qui ont répondu aux questions des équipes du Bos/Pse disent que les programmes éducatifs au Sénégal ne préparent pas adéquatement les jeunes au marché du travail d’où un taux de satisfaction de 41% quant à l’accès aux opportunités.
Le taux d’efficacité des politiques mises en œuvre pour l’accès à l’emploi et à l’entreprenariat est en deçà de 50% selon les répondants.
Bassirou MBAYE