«Les activités humaines ont des effets majeurs sur les océans, ce qui affecte tout, de la viabilité des habitats marins à la qualité et à la température de l'eau, en passant par la santé de la vie marine et l'existence des fruits de mer», ont déclaré les organisateurs de cette conférence qui durera du 5 au 9 juin.
Cette toute première conférence sur les océans mettra l'accent sur les objectifs énoncés dans le Programme de développement durable à l'horizon 2030, qui a été adopté par tous les gouvernements en 2015, et en particulier sur l'Objectif de développement durable 14, qui souligne la nécessité de préserver et d'utiliser de manière durable les océans, les mers, et les ressources marines pour le bénéfice des générations présentes et futures.
«La détérioration des océans a des implications plus larges car elle affecte l'éradication de la pauvreté, la croissance économique, les moyens d'existence durables et l'emploi, la sécurité alimentaire mondiale, la santé humaine et la régulation du climat», ont déclaré les organisateurs.
Des milliers de personnes sont attendues, y compris des chefs d'État et de gouvernement, des représentants de la société civile, des dirigeants d'entreprise, ainsi que des défenseurs de la vie marine et océanique.
Les petits États insulaires en développement, en particulier les îles du Pacifique, et les États côtiers africains, sont les plus affectés par le changement climatique et leurs économies sont particulièrement vulnérables aux changements qui affectent les océans et la vie marine.
L'actuel Président de l'Assemblée générale des Nations Unies, Peter Thomson, s'est dit «très confiant» sur la volonté d'agir pour aider les océans et la vie marine. Thomson, qui est originaire de Fidji, co-organise la Conférence avec la Suède. Selon lui, les gens sont «égoïstes» concernant l'avenir de leurs enfants et petits-enfants mais sont maintenant davantage conscients de la nécessité d'utiliser durablement les ressources naturelles.
Pathé TOURE
Cette toute première conférence sur les océans mettra l'accent sur les objectifs énoncés dans le Programme de développement durable à l'horizon 2030, qui a été adopté par tous les gouvernements en 2015, et en particulier sur l'Objectif de développement durable 14, qui souligne la nécessité de préserver et d'utiliser de manière durable les océans, les mers, et les ressources marines pour le bénéfice des générations présentes et futures.
«La détérioration des océans a des implications plus larges car elle affecte l'éradication de la pauvreté, la croissance économique, les moyens d'existence durables et l'emploi, la sécurité alimentaire mondiale, la santé humaine et la régulation du climat», ont déclaré les organisateurs.
Des milliers de personnes sont attendues, y compris des chefs d'État et de gouvernement, des représentants de la société civile, des dirigeants d'entreprise, ainsi que des défenseurs de la vie marine et océanique.
Les petits États insulaires en développement, en particulier les îles du Pacifique, et les États côtiers africains, sont les plus affectés par le changement climatique et leurs économies sont particulièrement vulnérables aux changements qui affectent les océans et la vie marine.
L'actuel Président de l'Assemblée générale des Nations Unies, Peter Thomson, s'est dit «très confiant» sur la volonté d'agir pour aider les océans et la vie marine. Thomson, qui est originaire de Fidji, co-organise la Conférence avec la Suède. Selon lui, les gens sont «égoïstes» concernant l'avenir de leurs enfants et petits-enfants mais sont maintenant davantage conscients de la nécessité d'utiliser durablement les ressources naturelles.
Pathé TOURE