Après l’annonce d’une telle nouvelle, Christine Lagarde, Directrice générale du FMI, n’a pas caché sa satisfaction. Selon elle, ces engagements préserveront la capacité globale du FMI d’octroyer des prêts et assurent que le FMI continuera de satisfaire les besoins de ses pays membres.
«Je note avec satisfaction qu’un si grand nombre de pays ont déjà pris un engagement, et j’encourage les autres à participer à cet effort important de coopération internationale», indique-t-elle.
En effet, l’accès aux emprunts bilatéraux sera régi par un nouveau dispositif approuvé par le Conseil d’administration du FMI en août 2016, qui remplacera le dispositif arrêté en 2012 lorsque, en réaction à la crise financière mondiale, les pays membres ont décidé de compléter les ressources du FMI à l’aide d’accords d’emprunts bilatéraux.
Il existe aujourd’hui 35 accords avec des créanciers au titre des accords d’emprunt de 2012, pour un total de 393 milliards de dollars. Ces accords, qui expireront à partir du 12 octobre, n’ont pas été activés, mais ont joué un rôle essentiel en tant que troisième ligne de défense, après les quotes-parts et les nouveaux accords d’emprunt, en assurant aux pays membres et aux marchés que le FMI dispose de ressources adéquates pour répondre à des besoins éventuels.
Pathé TOURE
«Je note avec satisfaction qu’un si grand nombre de pays ont déjà pris un engagement, et j’encourage les autres à participer à cet effort important de coopération internationale», indique-t-elle.
En effet, l’accès aux emprunts bilatéraux sera régi par un nouveau dispositif approuvé par le Conseil d’administration du FMI en août 2016, qui remplacera le dispositif arrêté en 2012 lorsque, en réaction à la crise financière mondiale, les pays membres ont décidé de compléter les ressources du FMI à l’aide d’accords d’emprunts bilatéraux.
Il existe aujourd’hui 35 accords avec des créanciers au titre des accords d’emprunt de 2012, pour un total de 393 milliards de dollars. Ces accords, qui expireront à partir du 12 octobre, n’ont pas été activés, mais ont joué un rôle essentiel en tant que troisième ligne de défense, après les quotes-parts et les nouveaux accords d’emprunt, en assurant aux pays membres et aux marchés que le FMI dispose de ressources adéquates pour répondre à des besoins éventuels.
Pathé TOURE