« La Commission a porté à 1,1 d’euros son aide pour financer des opérations de santé immédiates, des experts et des évaluations de risque, et contribue par des équipements médicaux, à l'accélération du diagnostic du virus » note le communiqué. Pour sa part, Kristalina Georgieva, la Commissaire européenne chargée de la coopération internationale, de l'aide humanitaire et de la réaction aux crises, a laissé entendre qu’agir rapidement est essentiel. « Nous renforçons notre soutien aux organisations partenaires en Guinée et dans les pays voisins pour assurer des soins de santé urgents à ceux touchés par l'épidémie et arrêter la propagation de celle-ci », ajoute-t-elle.
De son côté, le Commissaire européen au développement, Andris Piebalgs , est d’avis que la Commission européenne a mobilisé experts et équipements dans un délai très court pour fournir une aide rapide sur le terrain. Selon lui, une bonne coordination est essentielle dans la réponse internationale à cette épidémie. « C'est pourquoi, avance-t-il, nous mettons également en place un réseau d'instituts de santé de l'UE et de l'Afrique afin de permettre un échange de savoir-faire dans la lutte contre cette terrible maladie ».
L’aide de l’UE s’ajoute à un engagement de 500 000 euros donné la semaine dernière pour aider les communautés affectées en Guinée et dans les pays voisins.
« Ces nouveaux fonds permettront à Médecins Sans Frontières de multiplier ses interventions en cours dans le domaine de la prise en charge clinique (isolement des malades et soutien psychosocial), l'identification des cas suspect, et la formation et fourniture d'équipement de protection individuelle pour les travailleurs de santé », relève-t-on dans le communiqué. En outre, les nouveaux fonds apporteront un appui à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans la surveillance épidémiologique et la fourniture du matériel médical, du matériel de logistique de transport et de personnel de santé.
Trois experts humanitaires de la Commission ont été envoyés à Conakry et Monrovia pour suivre la situation sur le terrain et assurer la liaison avec les autorités locales et les partenaires.
De plus, le 26 mars six spécialistes européens du projet mobile European Lab (EMLab) travaillant sur les maladies infectieuses dangereuses sont arrivés à Guéckédou en Guinée, avec une unité de laboratoire mobile. Ce laboratoire est composé de matériel facilement transportable pour la manipulation sécurisée du virus contenu dans des boîtes. Ceci améliorera considérablement la capacité disponible pour l'analyse rapide d'échantillons et de la confirmation des cas d'Ebola, réduisant le nombre de cas non-diagnostiqués et empêchant la propagation de la maladie.
El Hadj Diakhaté
De son côté, le Commissaire européen au développement, Andris Piebalgs , est d’avis que la Commission européenne a mobilisé experts et équipements dans un délai très court pour fournir une aide rapide sur le terrain. Selon lui, une bonne coordination est essentielle dans la réponse internationale à cette épidémie. « C'est pourquoi, avance-t-il, nous mettons également en place un réseau d'instituts de santé de l'UE et de l'Afrique afin de permettre un échange de savoir-faire dans la lutte contre cette terrible maladie ».
L’aide de l’UE s’ajoute à un engagement de 500 000 euros donné la semaine dernière pour aider les communautés affectées en Guinée et dans les pays voisins.
« Ces nouveaux fonds permettront à Médecins Sans Frontières de multiplier ses interventions en cours dans le domaine de la prise en charge clinique (isolement des malades et soutien psychosocial), l'identification des cas suspect, et la formation et fourniture d'équipement de protection individuelle pour les travailleurs de santé », relève-t-on dans le communiqué. En outre, les nouveaux fonds apporteront un appui à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans la surveillance épidémiologique et la fourniture du matériel médical, du matériel de logistique de transport et de personnel de santé.
Trois experts humanitaires de la Commission ont été envoyés à Conakry et Monrovia pour suivre la situation sur le terrain et assurer la liaison avec les autorités locales et les partenaires.
De plus, le 26 mars six spécialistes européens du projet mobile European Lab (EMLab) travaillant sur les maladies infectieuses dangereuses sont arrivés à Guéckédou en Guinée, avec une unité de laboratoire mobile. Ce laboratoire est composé de matériel facilement transportable pour la manipulation sécurisée du virus contenu dans des boîtes. Ceci améliorera considérablement la capacité disponible pour l'analyse rapide d'échantillons et de la confirmation des cas d'Ebola, réduisant le nombre de cas non-diagnostiqués et empêchant la propagation de la maladie.
El Hadj Diakhaté