En effet, les ressources mobilisées à fin juillet 2018 (1313,1 milliards) se sont confortées de 5,5% en glissement annuel alors que dépenses (1751 milliards) ont progressé de 3,9%. Au total, le solde budgétaire global est estimé en déficit de 437,9 milliards contre un déficit de 440,2 milliards un an auparavant.
Les ressources sont essentiellement composées de recettes budgétaires à hauteur de 1196,3 milliards, de dons pour un montant estimé à 98 milliards et des ressources du FSE évaluées à 18,8 milliards. En glissement annuel, les ressources ont augmenté de 67,9 milliards (+5,5%) sous l’impulsion notamment des recettes fiscales et des dons qui ont enregistré des hausses respectives de 40,3 milliards et 29,4 milliards. Les recettes fiscales, estimées à 1133 milliards, se sont confortées de 4,5% à la faveur, notamment, de la bonne tenue de l’impôt sur le revenu et des recettes douanières qui se sont respectivement accrus de 16,1% et 4,7% pour atteindre 206,1 milliards et 360,3 milliards.
Dans une moindre mesure, la TVA intérieure hors pétrole (155,9 milliards), les taxes spécifiques sur la consommation (76,6 milliards), la taxe sur les activités financières (35 milliards) ainsi que la CODEC (Contribution au développement économique avec 13,2 milliards) ont amélioré la collecte de ressources, se consolidant, respectivement, de 4,6 milliards, 7,3 milliards, 3,4 milliards et 4,3 milliards.
Cette dynamique a, toutefois, été amoindrie par une baisse des recettes perçues au titre du pétrole, notamment sur la TVA à l’import (-30%) et le FSIPP (-16,2%) qui se sont, dans l’ordre, évaluées à 9,3 milliards et 40 milliards.
Pathe TOURE
Les ressources sont essentiellement composées de recettes budgétaires à hauteur de 1196,3 milliards, de dons pour un montant estimé à 98 milliards et des ressources du FSE évaluées à 18,8 milliards. En glissement annuel, les ressources ont augmenté de 67,9 milliards (+5,5%) sous l’impulsion notamment des recettes fiscales et des dons qui ont enregistré des hausses respectives de 40,3 milliards et 29,4 milliards. Les recettes fiscales, estimées à 1133 milliards, se sont confortées de 4,5% à la faveur, notamment, de la bonne tenue de l’impôt sur le revenu et des recettes douanières qui se sont respectivement accrus de 16,1% et 4,7% pour atteindre 206,1 milliards et 360,3 milliards.
Dans une moindre mesure, la TVA intérieure hors pétrole (155,9 milliards), les taxes spécifiques sur la consommation (76,6 milliards), la taxe sur les activités financières (35 milliards) ainsi que la CODEC (Contribution au développement économique avec 13,2 milliards) ont amélioré la collecte de ressources, se consolidant, respectivement, de 4,6 milliards, 7,3 milliards, 3,4 milliards et 4,3 milliards.
Cette dynamique a, toutefois, été amoindrie par une baisse des recettes perçues au titre du pétrole, notamment sur la TVA à l’import (-30%) et le FSIPP (-16,2%) qui se sont, dans l’ordre, évaluées à 9,3 milliards et 40 milliards.
Pathe TOURE