M. Kane présidait l’ouverture officielle d’un atelier sur la transparence budgétaire organisé par le Groupe d’études de recherche et d’action de développement (GERAD) et le ministère de l’économie et des finances. Selon lui, l’atelier s’inscrit dans une série d’initiatives visant à promouvoir le dialogue entre la société civile et le gouvernement sur l’accès du public à l’information budgétaire pour permettre l’exercice d’un contrôle citoyen sur l’utilisation des ressources publiques », affirme M. Kane. Dans ce domaine, il a laissé entendre que le Sénégal a réalisé des progrès notoires avec l’informatisation de la chaîne budgétaire, la production et la diffusion régulière d’information sur l’exécution du budget, la conjoncture, la dette publique.
De l’avis de Ngouda Fall Kane, les progrès sont également perceptibles avec la publication pour la première fois du projet de loi de finances de l’année 2014.
« L’adoption de la loi 2012 du 27 décembre 2012 portant code de transparence dans la gestion des finances publiques confirme, si besoin en est la volonté du gouvernement réaffirmée à travers l’axe 3 du plan Sénégal émergent, d’asseoir un cadre de bonne gouvernance sans lequel aucune politique publique ne peut être réussie », affirme encore M. Kane.
El Hadj Diakhaté
De l’avis de Ngouda Fall Kane, les progrès sont également perceptibles avec la publication pour la première fois du projet de loi de finances de l’année 2014.
« L’adoption de la loi 2012 du 27 décembre 2012 portant code de transparence dans la gestion des finances publiques confirme, si besoin en est la volonté du gouvernement réaffirmée à travers l’axe 3 du plan Sénégal émergent, d’asseoir un cadre de bonne gouvernance sans lequel aucune politique publique ne peut être réussie », affirme encore M. Kane.
El Hadj Diakhaté