«Nous apprécions le soutien que les donateurs apportent au Fonds africain de développement, d’autant que l’environnement mondial reste toujours difficile», a déclaré le président Akinwumi de la BAD.
Selon Adesina, le Fonds africain de développement continuera à jouer un rôle de premier plan pour accroitre la résilience dans les pays africains à faibles revenus, surtout dans les pays qui font face à des situations de fragilité et de vulnérabilité.
Le Fonds africain de développement consacrera plus de ressources au soutien au secteur privé dans la région et aidera les pays confrontés à la fragilité à résoudre leurs défis les plus pressants en termes de développement. Les montants accrus de l’enveloppe globale qui sera consacrée à ces pays traduisent leurs importants besoins en financements concessionnels. En même temps, reconnaissant le rôle clé que joue le secteur privé dans la transformation des économies africaines, le Fonds allouera plus de 280 millions de dollars américains au mécanisme d’amélioration des modalités de crédit au secteur privé (Private Sector Credit Enhancement Facility). Ce mécanisme permettra de mobiliser environ 840 millions de dollars américains de financements privés, dont au moins 50 % seront affectés aux pays présentant les risques les plus élevés. De plus, le Fonds continuera de promouvoir des instruments de mobiliser des ressources provenant du secteur privé, telles que les produits servant de garanties.
Le FAD est le guichet des prêts à des conditions de faveur du Groupe de la Banque africaine de développement. Il contribue à la réduction de la pauvreté et au développement économique et social dans les pays africains à faibles revenus.
Les financements du fonds viendront soutenir les cinq grandes priorités du Groupe de la Banque africaine de développement : Éclairer et fournir de l’énergie à l’Afrique, Nourrir l’Afrique, Industrialiser l’Afrique, Intégrer l’Afrique et Améliorer les conditions de vie des populations d’Afrique. En outre, il apportera une contribution dans quatre domaines transversaux de grande importance : les situations de fragilité, la gouvernance, le changement climatique et les questions afférentes au genre.
Pathé TOURÉ
Selon Adesina, le Fonds africain de développement continuera à jouer un rôle de premier plan pour accroitre la résilience dans les pays africains à faibles revenus, surtout dans les pays qui font face à des situations de fragilité et de vulnérabilité.
Le Fonds africain de développement consacrera plus de ressources au soutien au secteur privé dans la région et aidera les pays confrontés à la fragilité à résoudre leurs défis les plus pressants en termes de développement. Les montants accrus de l’enveloppe globale qui sera consacrée à ces pays traduisent leurs importants besoins en financements concessionnels. En même temps, reconnaissant le rôle clé que joue le secteur privé dans la transformation des économies africaines, le Fonds allouera plus de 280 millions de dollars américains au mécanisme d’amélioration des modalités de crédit au secteur privé (Private Sector Credit Enhancement Facility). Ce mécanisme permettra de mobiliser environ 840 millions de dollars américains de financements privés, dont au moins 50 % seront affectés aux pays présentant les risques les plus élevés. De plus, le Fonds continuera de promouvoir des instruments de mobiliser des ressources provenant du secteur privé, telles que les produits servant de garanties.
Le FAD est le guichet des prêts à des conditions de faveur du Groupe de la Banque africaine de développement. Il contribue à la réduction de la pauvreté et au développement économique et social dans les pays africains à faibles revenus.
Les financements du fonds viendront soutenir les cinq grandes priorités du Groupe de la Banque africaine de développement : Éclairer et fournir de l’énergie à l’Afrique, Nourrir l’Afrique, Industrialiser l’Afrique, Intégrer l’Afrique et Améliorer les conditions de vie des populations d’Afrique. En outre, il apportera une contribution dans quatre domaines transversaux de grande importance : les situations de fragilité, la gouvernance, le changement climatique et les questions afférentes au genre.
Pathé TOURÉ