Les 28,29 et 30 avril prochain, Lagos sera la capitale va accueillir la 1ère édition du Salon international de l’agro-alimentaire et de l’agrobusiness «NIGERIA AGROFOOD». En effet, cette rencontre est une plateforme à forte valeur ajoutée, à la considération de la place de l’agriculture dans l’économie nigériane, de son poids dans le PIB ouest-africain (espace CEDEAO), et l’importance du marché nigérian lequel représente 160 millions de consommateurs. L’évènement est soutenu par l’Union Européenne (UE).
C’est ainsi que près de 3.000 visiteurs professionnels venus de toute l’Afrique, mais aussi d’Europe, du Moyen Orient et d’Asie du Sud-est sont attendus à ce rendez-vous de l’Agrobusiness ouest africain. Ont déjà réservé leurs stands, près d’une centaine d’exposants venus de 26 pays. On peut citer pêle-mêle : Autriche, Belgique, Chine, France, Allemagne, Ghana, etc. NIGERIA AGROFOOD offre de grandes opportunités d’affaires pour les acteurs africains et internationaux des secteurs de l'agroalimentaire, de la transformation, et autres activités ou sous-secteurs connexes. Avec cette nouvelle politique, le secteur agricole, qui emploie plus de 70 % de la population active et génère 35 % du PIB nigérian, et qui était principalement centré autour d’une agriculture de subsistance, tend à s’industrialiser d’avantage. D’ailleurs le secteur de l’alimentation et des boissons qui génère plus de 1,5 million d’emplois dans le pays, représente une très grande partie de l’industrie de fabrication nigériane et emploie ainsi 5% de la population active.
Dans sa nouvelle conception de l'économie, le Nigeria – jusqu’alors très dépendant du pétrole, a pris conscience de certains enjeux et replace l’agrobusiness (pour ne pas dire l’agriculture) comme levier de croissance. Au-delà des questions de sécurité et d’autosuffisance alimentaire, il s’agit de faire de l’agrobusiness un secteur pourvoyeur de valeurs ajoutées (création et pérennisation d’emplois, intégration de nouvelles technologies, drainage de manne financière...). Ainsi, le gouvernement nigérian s’est employé à soutenir, dynamiser et pérenniser le secteur grâce à une modernisation dans toute la chaine des valeurs. Après avoir mis en place un programme de relance de son agriculture sur la base de réforme structurelle, le Nigéria s’est mis à développer un écosystème propice à son éclosion, lequel intègre des activités connexes telles que l’industrie de transformation, de conditionnement, d’emballage…). Cette politique de relance se matérialise entre autres par de nombreux programmes dont « Youth Empowerment in Agriculture » qui prône le retour à la terre.
Pathé TOURE
C’est ainsi que près de 3.000 visiteurs professionnels venus de toute l’Afrique, mais aussi d’Europe, du Moyen Orient et d’Asie du Sud-est sont attendus à ce rendez-vous de l’Agrobusiness ouest africain. Ont déjà réservé leurs stands, près d’une centaine d’exposants venus de 26 pays. On peut citer pêle-mêle : Autriche, Belgique, Chine, France, Allemagne, Ghana, etc. NIGERIA AGROFOOD offre de grandes opportunités d’affaires pour les acteurs africains et internationaux des secteurs de l'agroalimentaire, de la transformation, et autres activités ou sous-secteurs connexes. Avec cette nouvelle politique, le secteur agricole, qui emploie plus de 70 % de la population active et génère 35 % du PIB nigérian, et qui était principalement centré autour d’une agriculture de subsistance, tend à s’industrialiser d’avantage. D’ailleurs le secteur de l’alimentation et des boissons qui génère plus de 1,5 million d’emplois dans le pays, représente une très grande partie de l’industrie de fabrication nigériane et emploie ainsi 5% de la population active.
Dans sa nouvelle conception de l'économie, le Nigeria – jusqu’alors très dépendant du pétrole, a pris conscience de certains enjeux et replace l’agrobusiness (pour ne pas dire l’agriculture) comme levier de croissance. Au-delà des questions de sécurité et d’autosuffisance alimentaire, il s’agit de faire de l’agrobusiness un secteur pourvoyeur de valeurs ajoutées (création et pérennisation d’emplois, intégration de nouvelles technologies, drainage de manne financière...). Ainsi, le gouvernement nigérian s’est employé à soutenir, dynamiser et pérenniser le secteur grâce à une modernisation dans toute la chaine des valeurs. Après avoir mis en place un programme de relance de son agriculture sur la base de réforme structurelle, le Nigéria s’est mis à développer un écosystème propice à son éclosion, lequel intègre des activités connexes telles que l’industrie de transformation, de conditionnement, d’emballage…). Cette politique de relance se matérialise entre autres par de nombreux programmes dont « Youth Empowerment in Agriculture » qui prône le retour à la terre.
Pathé TOURE