Ainsi que la vulnérabilité de certaines ressources comme les oiseaux marins, la dégradation des habitats avec les herbiers, qui sont des écosystèmes assez riche pour la survie des populations, mais également la détérioration de la qualité de l’eau, a-t-il ajouté lors de la cérémonie d’ouverture d’un atelier nationale du projet de protection du grand écosystème marin du courant des canaries (CCLME).
Selon lui, sept pays le Cap Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée Bissau, le Maroc, la Mauritanie et le Sénégal se sont accordés sur ces problèmes transfrontaliers. Il faut maintenant trouver des solutions à ses problèmes et c’est dans ce cadre qu’un groupe de travail d’un plan d’action stratégique a pu se pencher sur des solutions.
‘’Ces dernières consistent à des actions et des mesures en vue de combattre ces menaces et faire en sorte d’avoir un écosystème sain d’ici l’horizon 2025 et gérer durablement au bénéfice des populations qui longent cet écosystème du courant marin côtier’’ a-t-il dit.
‘’Ce groupe de travail a pu produire un document comportant des mesures, il s’agit maintenant au Sénégal de s’approprier de la méthodologie’’ a souligné M. Samb.
Pour rappel , ce grand écosystème marin du courant des canaries (CCLME) est l’un des 64 grands écosystèmes marins répertoriés dans le monde .Il est constitué d’une vaste zone maritime allant du Maroc jusqu’à la Guinée en passant par le Cap Vert .Cet espace côtier mobilise 64millions habitants, 12000 espèces sur une distance de 5400 km avec plus de 2millions de KM2 de zones économiques exclusifs, mais ce dernier est fortement menacé à cause d’usagers multiples.
Ndeye Maguette Kébé
Selon lui, sept pays le Cap Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée Bissau, le Maroc, la Mauritanie et le Sénégal se sont accordés sur ces problèmes transfrontaliers. Il faut maintenant trouver des solutions à ses problèmes et c’est dans ce cadre qu’un groupe de travail d’un plan d’action stratégique a pu se pencher sur des solutions.
‘’Ces dernières consistent à des actions et des mesures en vue de combattre ces menaces et faire en sorte d’avoir un écosystème sain d’ici l’horizon 2025 et gérer durablement au bénéfice des populations qui longent cet écosystème du courant marin côtier’’ a-t-il dit.
‘’Ce groupe de travail a pu produire un document comportant des mesures, il s’agit maintenant au Sénégal de s’approprier de la méthodologie’’ a souligné M. Samb.
Pour rappel , ce grand écosystème marin du courant des canaries (CCLME) est l’un des 64 grands écosystèmes marins répertoriés dans le monde .Il est constitué d’une vaste zone maritime allant du Maroc jusqu’à la Guinée en passant par le Cap Vert .Cet espace côtier mobilise 64millions habitants, 12000 espèces sur une distance de 5400 km avec plus de 2millions de KM2 de zones économiques exclusifs, mais ce dernier est fortement menacé à cause d’usagers multiples.
Ndeye Maguette Kébé