« Les importations du mois de mars 2020 sont évaluées à 486,2 milliards de FCFA contre 289,4 milliards de FCFA au mois précédent, soit un relèvement de 68,0%. Cette hausse est imputable à celle des achats à l’extérieur d’autres véhicules terrestres (30,7 milliards de FCFA contre 7,5 milliards de FCFA au mois précédent), de riz (+69,2%) et d’autres machines et appareils (+35,3%) », lit-on dans le document.
Par ailleurs, ajoute l’Ansd, l’absence d’importations d’huile brute de pétrole au mois précédent contre 78,7 milliards de FCFA au cours de la période sous revue, a renforcé cette augmentation.
Toutefois, cette hausse des importations a été modérée par le repli des importations de machines et appareils pour industries alimentaires (-53,9%) et de maïs (-34,7%). Comparées au mois de mars 2019, les importations ont connu une progression de 56,8%. Leur cumul à fin mars 2020 s’est établi à 1123,4 milliards de FCFA contre 965,5 milliards de FCFA pour la période correspondante en 2019, soit un relèvement de 16,4%.
Les principaux produits importés, au cours de la période sous revue, sont l’huile brute de pétrole (78,7 milliards de FCFA), les autres machines et appareils (56,5 milliards de FCFA), les produits pétroliers finis (40,5 milliards de FCFA), les autres véhicules terrestres (30,7 milliards de FCFA) et le riz (22,9 milliards de FCFA).
Les principaux fournisseurs du Sénégal ont été la France (20,2%), le Nigéria (16,2%), la Chine (8,9%), les Pays-Bas (3,8%) et la Turquie (3,7%).
Le solde commercial s’est établi à -332,8 milliards de FCFA au mois de mars 2020, contre -126,0 milliards de FCFA au mois précédent. Cette détérioration du solde est expliquée par le déficit vis-à-vis du Nigéria (-77,5 milliards de FCFA contre +2,0 milliards de FCFA au mois précédent) et le renforcement du déficit vis-à-vis de la France (-94,5 milliards de FCFA contre -57,9 milliards de FCFA en février 2020) et de la Chine (-39,0 milliards de FCFA contre -20,6 milliards de FCFA à la période précédente).
Adou FAYE
Par ailleurs, ajoute l’Ansd, l’absence d’importations d’huile brute de pétrole au mois précédent contre 78,7 milliards de FCFA au cours de la période sous revue, a renforcé cette augmentation.
Toutefois, cette hausse des importations a été modérée par le repli des importations de machines et appareils pour industries alimentaires (-53,9%) et de maïs (-34,7%). Comparées au mois de mars 2019, les importations ont connu une progression de 56,8%. Leur cumul à fin mars 2020 s’est établi à 1123,4 milliards de FCFA contre 965,5 milliards de FCFA pour la période correspondante en 2019, soit un relèvement de 16,4%.
Les principaux produits importés, au cours de la période sous revue, sont l’huile brute de pétrole (78,7 milliards de FCFA), les autres machines et appareils (56,5 milliards de FCFA), les produits pétroliers finis (40,5 milliards de FCFA), les autres véhicules terrestres (30,7 milliards de FCFA) et le riz (22,9 milliards de FCFA).
Les principaux fournisseurs du Sénégal ont été la France (20,2%), le Nigéria (16,2%), la Chine (8,9%), les Pays-Bas (3,8%) et la Turquie (3,7%).
Le solde commercial s’est établi à -332,8 milliards de FCFA au mois de mars 2020, contre -126,0 milliards de FCFA au mois précédent. Cette détérioration du solde est expliquée par le déficit vis-à-vis du Nigéria (-77,5 milliards de FCFA contre +2,0 milliards de FCFA au mois précédent) et le renforcement du déficit vis-à-vis de la France (-94,5 milliards de FCFA contre -57,9 milliards de FCFA en février 2020) et de la Chine (-39,0 milliards de FCFA contre -20,6 milliards de FCFA à la période précédente).
Adou FAYE