M. François qui s’exprimait lors de l’ouverture de la toute première réunion consultative de l’UA sur les règles d’origine de la ZCLE a ajouté que ces règles sont vitales pour un établissement réussi de cette zone. Dans les échanges internationaux, les règles d’origine permettent de déterminer le pays d’origine des marchandises.
« A l’heure où règne une certaine inquiétude à notre niveau sur la question de la signature des Accords de partenariat économique (APE) et des retombées de la ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) à Bali sur la question de la facilitation des échanges, des crises qui se sont succédées dans les territoires de nos partenaires commerciaux traditionnels, cette réunion consultative trouve toute sa raison d’être », a affirmé M. François.
Selon lui, la pensée économique moderne reconnait les échanges comme un puissant levier dans la promotion du développement et de la croissance économique ainsi que le combat pour l’éradication de la pauvreté. « Or, poursuit-il, si l’Afrique, bien dotée en termes de richesses (matières premières, minéraux stratégiques et pétrole, terres, sols feriles et forêts) mais plus encore, peuplée d’une population jeune avec d’immenses potentialités au niveau commercial, n’a pu dans le passé convertir ses immenses richesses en fortune, des temps nouveaux s’annoncent pour notre mère continent », a soutenu M. François. Pour lui, l’Afrique est de plus en plus reconnue comme étant le prochain pôle de croissance. « Il appartient à nos Etats de saisir l’occasion de cette conjoncture favorable afin que nous puissions retrouver la place qui nous est due dans les échanges commerciaux », avance M. François.
Il est attendu des experts prenant part à cette réunion consultative de l’UA à Dakar un certain nombre de recommandations ayant trait notamment à la philosophie devant guider l’élaboration des règles d’origine ainsi que le cadre permettant de faciliter la mise en place de la ZCLE prévu pour l’année 2017.
El Hadj Diakhaté
« A l’heure où règne une certaine inquiétude à notre niveau sur la question de la signature des Accords de partenariat économique (APE) et des retombées de la ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) à Bali sur la question de la facilitation des échanges, des crises qui se sont succédées dans les territoires de nos partenaires commerciaux traditionnels, cette réunion consultative trouve toute sa raison d’être », a affirmé M. François.
Selon lui, la pensée économique moderne reconnait les échanges comme un puissant levier dans la promotion du développement et de la croissance économique ainsi que le combat pour l’éradication de la pauvreté. « Or, poursuit-il, si l’Afrique, bien dotée en termes de richesses (matières premières, minéraux stratégiques et pétrole, terres, sols feriles et forêts) mais plus encore, peuplée d’une population jeune avec d’immenses potentialités au niveau commercial, n’a pu dans le passé convertir ses immenses richesses en fortune, des temps nouveaux s’annoncent pour notre mère continent », a soutenu M. François. Pour lui, l’Afrique est de plus en plus reconnue comme étant le prochain pôle de croissance. « Il appartient à nos Etats de saisir l’occasion de cette conjoncture favorable afin que nous puissions retrouver la place qui nous est due dans les échanges commerciaux », avance M. François.
Il est attendu des experts prenant part à cette réunion consultative de l’UA à Dakar un certain nombre de recommandations ayant trait notamment à la philosophie devant guider l’élaboration des règles d’origine ainsi que le cadre permettant de faciliter la mise en place de la ZCLE prévu pour l’année 2017.
El Hadj Diakhaté