‘’Le président de la République, Macky Sall, a compris le rôle déterminant de la pêche et de l’agriculture, dont la valorisation de leurs produits constitue un des maillons essentiels du Plan Sénégal émergent (PSE)’’, a notamment dit M. Ndione au cours d’un séminaire dont le thème porte sur ‘’l’amélioration des techniques de transformation, de conservation et de marketing des produits horticoles et halieutiques’’.
‘’Le bilan du Chef de l’Etat dans le secteur de la pêche est aussi visible dans les aires de transformation, les complexes frigorifiques et dans la prise en charge des volets formation et financement, sans compter les progrès immenses enregistrés dans la modernisation progressive de la pêche artisanale’’, a insisté le DG du COSEC.
Il pense qu’il est indéniable que les performances du sous-secteur de la pêche au Sénégal sont sans commune mesure avec, en 2017, une croissance de 7,1% dont une progression de 26,2% de la pêche industrielle.
‘’Le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural aussi a beaucoup fait sous la vision du Chef de l’Etat. La production de pomme de terre a été quasiment multipliée par dix en six ans et celles du riz et de l’oignon ont plus que doublé dans la même période, au moment où l’arachide, avec 527 000 tonnes en 2011, a quasiment triplé en six ans, avec 1 400 000 tonnes en 2017’’, a expliqué Mamadou Ndione, affirmant qu’il est clair que les défis de la production sont largement à portée de main.
Pour plus d’efficience, il pense qu’il est important de ‘’créer une plus large synergie’’ des acteurs publics et privés autour de plateformes d’échanges d’expériences et de bonnes pratiques de transformation, de conservation et de mise en condition commerciale des produits agricoles et halieutiques.
‘’Pour les céréales, il est clair que la production record de plus de 2 500 000 tonnes en 2017, marquant une hausse de 54% par rapport à la moyenne des cinq dernières années, nécessite une meilleure prise en charge sur toute la chaine logistique, pour au-delà du marcher, positionner comme grenier sous-régional, conformément à l’ambition du Chef de l’Etat qui est dans un processus de mécanisation accélérée de ce secteur vital’’, a dit Ndione.
Cet atelier qui a pris fin samedi, permettra d’échanger et de généraliser les bonnes pratiques productrices et commerciales autour des chaines de valeur de la mangue casamançaise, de la tomate, de la cerise, du haricot vert, de l’oignon, de la pomme de terre, de l’arachide, du riz, du mil et des autres céréales en général, autour de la valorisation de l’’’immense potentiel’’ qui a fini de faire du secteur de la pêche la principale contributrice à l’équilibre de la balance commerciale avec plus de 20%.
Pour le président du Conseil d’administration du COSEC, Babacar Ndiaye, l’initiative de ce séminaire constitue une réponse de son entreprise aux besoins de formation, d’information et d’accompagnement des chargeurs pour la conquête des marchés, à la fois intérieur et extérieur.
‘’Le COSEC travaille ardemment dans la prise en charge du renforcement des capacités et la modernisation de la chaine logistique, voie obligée pour apporter les vraies réponses aux attentes les plus pressantes des chargeurs sénégalais’’, a souligné M. Ndiaye.
Serigne Makhtar Fall
‘’Le bilan du Chef de l’Etat dans le secteur de la pêche est aussi visible dans les aires de transformation, les complexes frigorifiques et dans la prise en charge des volets formation et financement, sans compter les progrès immenses enregistrés dans la modernisation progressive de la pêche artisanale’’, a insisté le DG du COSEC.
Il pense qu’il est indéniable que les performances du sous-secteur de la pêche au Sénégal sont sans commune mesure avec, en 2017, une croissance de 7,1% dont une progression de 26,2% de la pêche industrielle.
‘’Le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural aussi a beaucoup fait sous la vision du Chef de l’Etat. La production de pomme de terre a été quasiment multipliée par dix en six ans et celles du riz et de l’oignon ont plus que doublé dans la même période, au moment où l’arachide, avec 527 000 tonnes en 2011, a quasiment triplé en six ans, avec 1 400 000 tonnes en 2017’’, a expliqué Mamadou Ndione, affirmant qu’il est clair que les défis de la production sont largement à portée de main.
Pour plus d’efficience, il pense qu’il est important de ‘’créer une plus large synergie’’ des acteurs publics et privés autour de plateformes d’échanges d’expériences et de bonnes pratiques de transformation, de conservation et de mise en condition commerciale des produits agricoles et halieutiques.
‘’Pour les céréales, il est clair que la production record de plus de 2 500 000 tonnes en 2017, marquant une hausse de 54% par rapport à la moyenne des cinq dernières années, nécessite une meilleure prise en charge sur toute la chaine logistique, pour au-delà du marcher, positionner comme grenier sous-régional, conformément à l’ambition du Chef de l’Etat qui est dans un processus de mécanisation accélérée de ce secteur vital’’, a dit Ndione.
Cet atelier qui a pris fin samedi, permettra d’échanger et de généraliser les bonnes pratiques productrices et commerciales autour des chaines de valeur de la mangue casamançaise, de la tomate, de la cerise, du haricot vert, de l’oignon, de la pomme de terre, de l’arachide, du riz, du mil et des autres céréales en général, autour de la valorisation de l’’’immense potentiel’’ qui a fini de faire du secteur de la pêche la principale contributrice à l’équilibre de la balance commerciale avec plus de 20%.
Pour le président du Conseil d’administration du COSEC, Babacar Ndiaye, l’initiative de ce séminaire constitue une réponse de son entreprise aux besoins de formation, d’information et d’accompagnement des chargeurs pour la conquête des marchés, à la fois intérieur et extérieur.
‘’Le COSEC travaille ardemment dans la prise en charge du renforcement des capacités et la modernisation de la chaine logistique, voie obligée pour apporter les vraies réponses aux attentes les plus pressantes des chargeurs sénégalais’’, a souligné M. Ndiaye.
Serigne Makhtar Fall