Ils sont trois pays Lusophones, huit pays anglophones et neuf pays francophones dont le Sénégal à bénéficier de la phase 2 du Projet multinational de l’Université Virtuelle Africain (UVA), financé par la BAD. Lancé à Dakar ce 18 Juillet, cette mission a pour objectif global de lancer officiellement le projet, de sensibiliser tous les bénéficiaires du projet au Sénégal et de collecter les informations de base relatives aux activités du projet. « Les universités africaines sont présentement submergées par un nombre de plus en plus important d’étudiants », a soutenu Bacary Diallo recteur de l’UVA. Selon lui, « seuls 6% des élèves qui quittent l’enseignement secondaire en Afrique subsaharienne ont accès à l’enseignement supérieur ». C’est pourquoi, le moment est venu d’envisager « d’avoir recours au elearding pour prendre en charge le besoin croissant d’une éducation et d’une formation de qualité abordable », soutient Bacary Diallo. Pour cela, il faudrait, qu’il y ait « des politiques et un financement appropriés mais aussi une planification et une exécution minutieuse », indique-t-il.
Ainsi, l’UVA a pour mandat de « faciliter de manière significative l’accès à un enseignement et à une formation supérieure de qualité par une utilisation innovante des TIC », renseigne son recteur. Car les spécialistes de l’éducation et les économistes ont constaté que, si l’Afrique veut être compétitive, « il faudrait au moins que 12 à 15% de la main d’œuvre du continent ait atteint le niveau de l’enseignement supérieur », souligne Bacary Diallo. C’est pour cela que l’UVA compte aider « ses pays membres et ses institutions partenaires à satisfaire la demande croissante de services d’éducation supérieure de qualité », affirme le Recteur de l’UVA.
Il s’agira au cours de la mission, de sensibiliser l’institution partenaire aux résultats attendus du Projet multinational et de promouvoir l’utilisation des ressources éducatives libres de l’UVA. Le projet garantira la fourniture d’une assistance technique aux pays et aux universités afin de favoriser l’utilisation des ressources éducatives libres et la mise en œuvre de programmes, tels que la formation des enseignants, l’informatique, la paix et le règlement des conflits, ainsi que le renforcement des capacités des universitaires en matière de création, de gestion et de mise en œuvre de leur propre programme en utilisant les programmes elearnig.
Amy Diallo
Ainsi, l’UVA a pour mandat de « faciliter de manière significative l’accès à un enseignement et à une formation supérieure de qualité par une utilisation innovante des TIC », renseigne son recteur. Car les spécialistes de l’éducation et les économistes ont constaté que, si l’Afrique veut être compétitive, « il faudrait au moins que 12 à 15% de la main d’œuvre du continent ait atteint le niveau de l’enseignement supérieur », souligne Bacary Diallo. C’est pour cela que l’UVA compte aider « ses pays membres et ses institutions partenaires à satisfaire la demande croissante de services d’éducation supérieure de qualité », affirme le Recteur de l’UVA.
Il s’agira au cours de la mission, de sensibiliser l’institution partenaire aux résultats attendus du Projet multinational et de promouvoir l’utilisation des ressources éducatives libres de l’UVA. Le projet garantira la fourniture d’une assistance technique aux pays et aux universités afin de favoriser l’utilisation des ressources éducatives libres et la mise en œuvre de programmes, tels que la formation des enseignants, l’informatique, la paix et le règlement des conflits, ainsi que le renforcement des capacités des universitaires en matière de création, de gestion et de mise en œuvre de leur propre programme en utilisant les programmes elearnig.
Amy Diallo