De gauche à droite Boileau Loko, Représentant résident du FMI au Sénégal et M. Ali Mansoor , nouveau chef de mission du FMI
M. Mansoor rendait compte, lors d’une conférence de presse, de la mission du FMI qu’il a dirigée au Sénégal du 16 au 26 septembre 2014 dans le cadre des consultations du FMI avec les Etats membres et de l’Instrument de soutien à la politique économique (ISPE).
« L’activité économique s’est accélérée durant cette période tandis que l’inflation demeure faible », a laissé entendre M. Mansoor. Selon lui l’exécution budgétaire est satisfaisante avec des recettes dépassant l’objectif du programme. De l’avis toujours de M. Mansoor le FMI est en phase avec le gouvernement pour le contrôle les dépenses courantes pour dégager des ressources pour les investissements.
« La bonne performances des recettes combinée avec une sous-exécution des dépenses a permis d’enregistrer un déficit budgétaire plus faible que programmé durant la première moitié de l’année 2014 », a soutenu M. Mansoor.
Cependant il a mis en exergue l’installation tardive de l’hivernage et le ralentissement anticipé de l’activité touristique qui pourraient avoir des impacts négatifs sur le taux de croissance projeté par le FMI à 4,5% en 2014, légèrement en-dessous de la projection initiale.
El Hadj Diakhaté
« L’activité économique s’est accélérée durant cette période tandis que l’inflation demeure faible », a laissé entendre M. Mansoor. Selon lui l’exécution budgétaire est satisfaisante avec des recettes dépassant l’objectif du programme. De l’avis toujours de M. Mansoor le FMI est en phase avec le gouvernement pour le contrôle les dépenses courantes pour dégager des ressources pour les investissements.
« La bonne performances des recettes combinée avec une sous-exécution des dépenses a permis d’enregistrer un déficit budgétaire plus faible que programmé durant la première moitié de l’année 2014 », a soutenu M. Mansoor.
Cependant il a mis en exergue l’installation tardive de l’hivernage et le ralentissement anticipé de l’activité touristique qui pourraient avoir des impacts négatifs sur le taux de croissance projeté par le FMI à 4,5% en 2014, légèrement en-dessous de la projection initiale.
El Hadj Diakhaté