Après des années de réduction, l’institution fait savoir que les soldes ont atteint 3% du Produit intérieur brut (Pib) mondial en 2020 puis 3,5% l’an dernier et ils devraient à nouveau se creuser en 2022.
En soi, le Fmi souligne qu’une hausse des soldes des transactions courantes n’est pas forcément une mauvaise chose. Toutefois, elle renseigne que les soldes excédentaires mondiaux (la part qui ne s’explique pas par les différences dans les paramètres économiques fondamentaux des pays, comme la situation démographique, le niveau de revenu et le potentiel de croissance, et les paramètres de l’action publique souhaitables, en utilisant la méthodologie révisée du FMI) pourraient être à l’origine de tensions commerciales et de mesures protectionnistes.
Cela constituerait un revers pour le renforcement souhaité de la coopération économique internationale et amplifier par ailleurs le risque de fluctuations déstabilisantes des monnaies et des flux de capitaux, indique enfin le Fmi.
Bassirou MBAYE
En soi, le Fmi souligne qu’une hausse des soldes des transactions courantes n’est pas forcément une mauvaise chose. Toutefois, elle renseigne que les soldes excédentaires mondiaux (la part qui ne s’explique pas par les différences dans les paramètres économiques fondamentaux des pays, comme la situation démographique, le niveau de revenu et le potentiel de croissance, et les paramètres de l’action publique souhaitables, en utilisant la méthodologie révisée du FMI) pourraient être à l’origine de tensions commerciales et de mesures protectionnistes.
Cela constituerait un revers pour le renforcement souhaité de la coopération économique internationale et amplifier par ailleurs le risque de fluctuations déstabilisantes des monnaies et des flux de capitaux, indique enfin le Fmi.
Bassirou MBAYE