Le projet, baptisé « Mission 300 » (M300), a été initialement lancé en avril 2024 par le Groupe de la Banque mondiale et la Banque africaine de développement. Il prévoit le lancement d’une nouvelle facilité d’assistance technique, la création d’un groupe de leadership M300 avec la Banque africaine de développement et la Banque mondiale, ainsi que la mobilisation de financements du secteur privé pour stimuler les efforts d’électrification de l’Afrique.
Grâce à l’alignement des ressources, de l’expertise et des actions de plaidoyer, les partenaires visent à créer et à maintenir une dynamique en faveur de l’ambition de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement de transformer l’accès à l’énergie pour près de la moitié de la population africaine qui vit actuellement sans électricité.
Parallèlement à la nouvelle facilité d’assistance technique, la GEAPP, SEforALL, la Fondation Rockefeller, le RFCC (RF catalytic Capital) et d’autres partenaires co-développent des initiatives supplémentaires pour aider à faire avancer la M300 à travers l’utilisation productive de l’énergie, le financement en monnaie locale, le soutien aux développeurs, la mutualisation des achats et le plaidoyer au niveau mondial.
La GEAPP et la Fondation Rockefeller s’engagent à verser un montant initial de 10 millions de dollars pour établir une nouvelle facilité d’assistance technique à court et moyen terme, plus flexible. Cette facilité déploiera des capitaux philanthropiques pour accélérer le rythme et l’efficacité des projets d’accès à l’électricité dans 11 pays : Burkina Faso, Tchad, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, Libéria, Madagascar, Malawi, Mozambique, Nigeria, Tanzanie et Zambie. Les fonds soutiendront également des projets au sein du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA), « la plus grande organisation économique régionale d’Afrique ».
Au fur et à mesure du déploiement de l’initiative, les partenaires visent un objectif d’investissement de 90 milliards de dollars par le biais de banques multilatérales de développement, d’investissements du secteur privé et de contributions philanthropiques. Le consortium plaide également en faveur d’une solide reconstitution des ressources de l’Association internationale de développement (IDA) et du Fonds africain de développement.
Un organe de gouvernance conjoint a également été créé afin de favoriser la responsabilisation des parties prenantes, de suivre les progrès et de garantir la mise en place de structures opérationnelles agiles et l’alignement des ressources afin d’obtenir des résultats rapides à l’échelle nationale. Le groupe est coprésidé par la directrice générale de SEforALL, Damilola Ogunbiyi, et comprend de hauts responsables de la Banque africaine de développement, de la Banque mondiale, de la GEAPP et de la Fondation Rockefeller.
Les partenaires ont nommé Andrew Herscowitz, ancien directeur de Power Africa, au poste de directeur général de l’accélérateur M300. Il supervisera les efforts de l’initiative, en coordination avec la Banque africaine de développement et la Banque mondiale pour accélérer les progrès.
Bassirou MBAYE
Grâce à l’alignement des ressources, de l’expertise et des actions de plaidoyer, les partenaires visent à créer et à maintenir une dynamique en faveur de l’ambition de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement de transformer l’accès à l’énergie pour près de la moitié de la population africaine qui vit actuellement sans électricité.
Parallèlement à la nouvelle facilité d’assistance technique, la GEAPP, SEforALL, la Fondation Rockefeller, le RFCC (RF catalytic Capital) et d’autres partenaires co-développent des initiatives supplémentaires pour aider à faire avancer la M300 à travers l’utilisation productive de l’énergie, le financement en monnaie locale, le soutien aux développeurs, la mutualisation des achats et le plaidoyer au niveau mondial.
La GEAPP et la Fondation Rockefeller s’engagent à verser un montant initial de 10 millions de dollars pour établir une nouvelle facilité d’assistance technique à court et moyen terme, plus flexible. Cette facilité déploiera des capitaux philanthropiques pour accélérer le rythme et l’efficacité des projets d’accès à l’électricité dans 11 pays : Burkina Faso, Tchad, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, Libéria, Madagascar, Malawi, Mozambique, Nigeria, Tanzanie et Zambie. Les fonds soutiendront également des projets au sein du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA), « la plus grande organisation économique régionale d’Afrique ».
Au fur et à mesure du déploiement de l’initiative, les partenaires visent un objectif d’investissement de 90 milliards de dollars par le biais de banques multilatérales de développement, d’investissements du secteur privé et de contributions philanthropiques. Le consortium plaide également en faveur d’une solide reconstitution des ressources de l’Association internationale de développement (IDA) et du Fonds africain de développement.
Un organe de gouvernance conjoint a également été créé afin de favoriser la responsabilisation des parties prenantes, de suivre les progrès et de garantir la mise en place de structures opérationnelles agiles et l’alignement des ressources afin d’obtenir des résultats rapides à l’échelle nationale. Le groupe est coprésidé par la directrice générale de SEforALL, Damilola Ogunbiyi, et comprend de hauts responsables de la Banque africaine de développement, de la Banque mondiale, de la GEAPP et de la Fondation Rockefeller.
Les partenaires ont nommé Andrew Herscowitz, ancien directeur de Power Africa, au poste de directeur général de l’accélérateur M300. Il supervisera les efforts de l’initiative, en coordination avec la Banque africaine de développement et la Banque mondiale pour accélérer les progrès.
Bassirou MBAYE