«La Banque mondiale estime que la paix, la stabilité et l'État de droit sont fondamentaux pour créer un monde sans pauvreté sur une planète livrable. Nous sommes alarmés par les efforts visant à renverser le gouvernement démocratiquement élu au Niger.
En réponse, la Banque mondiale a suspendu les décaissements pour toutes les opérations jusqu'à nouvel ordre, à l'exception des partenariats avec le secteur privé, qui se poursuivront avec prudence », lit-on dans le document.
La Banque mondiale ajoute qu’elle va continuer à suivre de près la situation. «Nous sommes animés par l'ambition d'améliorer la qualité de vie et les opportunités des Nigériens », note la Banque mondiale.
Avant la Banque mondiale, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Uemoa réuni le 30 juillet dernier à Abuja au Nigeria, ont infligé des sanctions économiques et financières aux nouvelles autorités responsables du putsch.
Adou Faye
En réponse, la Banque mondiale a suspendu les décaissements pour toutes les opérations jusqu'à nouvel ordre, à l'exception des partenariats avec le secteur privé, qui se poursuivront avec prudence », lit-on dans le document.
La Banque mondiale ajoute qu’elle va continuer à suivre de près la situation. «Nous sommes animés par l'ambition d'améliorer la qualité de vie et les opportunités des Nigériens », note la Banque mondiale.
Avant la Banque mondiale, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Uemoa réuni le 30 juillet dernier à Abuja au Nigeria, ont infligé des sanctions économiques et financières aux nouvelles autorités responsables du putsch.
Adou Faye