«En raison d’une conjoncture économique extérieure difficile, notamment liée à la faiblesse persistante des prix des matières premières et à des défis sécuritaires, la croissance économique de l’Afrique a ralenti en 2016 pour descendre à son plus bas niveau depuis deux décennies», a-t-il indiqué.
Cependant, poursuit-il, il existe toujours de grandes disparités dans les résultats économiques qu’enregistrent les différents pays et les pays moins pourvus en ressources naturelles, notamment en Afrique subsaharienne, continuent d’afficher une croissance robuste.
«Dans ce contexte, nous avons convenu qu’il ne fallait pas différer les ajustements nécessaires pour corriger les vastes déséquilibres macroéconomiques qu’accusent certains des pays les plus touchés par le repli des cours des matières premières et pour maîtriser les vulnérabilités qui apparaissent dans d’autres pays», informe-t-il.
Matambo a noté que «pour corriger les vulnérabilités grandissantes auxquelles se heurtent les pays africains, il faudra insuffler une nouvelle vigueur aux mesures destinées à gérer les déséquilibres macroéconomiques, reconstituer les marges de manœuvre budgétaire et extérieure et poursuivre les réformes structurelles destinées à lever les obstacles à une croissance généralisée et à renforcer la résilience économique.
De son côté, Christine Lagarde a déclaré que le FMI continuera de travailler en étroite collaboration avec ses pays membres africains. Il continuera d’accompagner les efforts réalisés par les autorités pour relever les défis économiques actuels mais aussi pour faire en sorte qu’elles en sortent renforcées et qu’elles s’engagent sur la voie d’une croissance durable et inclusive.
Pathé TOURE
Cependant, poursuit-il, il existe toujours de grandes disparités dans les résultats économiques qu’enregistrent les différents pays et les pays moins pourvus en ressources naturelles, notamment en Afrique subsaharienne, continuent d’afficher une croissance robuste.
«Dans ce contexte, nous avons convenu qu’il ne fallait pas différer les ajustements nécessaires pour corriger les vastes déséquilibres macroéconomiques qu’accusent certains des pays les plus touchés par le repli des cours des matières premières et pour maîtriser les vulnérabilités qui apparaissent dans d’autres pays», informe-t-il.
Matambo a noté que «pour corriger les vulnérabilités grandissantes auxquelles se heurtent les pays africains, il faudra insuffler une nouvelle vigueur aux mesures destinées à gérer les déséquilibres macroéconomiques, reconstituer les marges de manœuvre budgétaire et extérieure et poursuivre les réformes structurelles destinées à lever les obstacles à une croissance généralisée et à renforcer la résilience économique.
De son côté, Christine Lagarde a déclaré que le FMI continuera de travailler en étroite collaboration avec ses pays membres africains. Il continuera d’accompagner les efforts réalisés par les autorités pour relever les défis économiques actuels mais aussi pour faire en sorte qu’elles en sortent renforcées et qu’elles s’engagent sur la voie d’une croissance durable et inclusive.
Pathé TOURE