La Banque pour le financement de l'agriculture (BFA) et Versus Bank, entièrement détenues par l'État, seront totalement privatisées.
D’autre part, l’Etat va se céder ses parts de 49% dans le capital de la Société Ivoirienne de Banque (SIB), une filiale du groupe marocain Attijariwafa Bank, et sa participation de 20% dans la BIAO-CI (Banque internationale pour l'Afrique occidentale-Côte d’Ivoire), qui est détenue à hauteur de 80% par un consortium formé par la Nouvelle Société d’Assurance en Côte d’Ivoire (groupe NSIA) et l’Institution de Prévoyance sociale (IPS-CNPS).
Ces diverses opérations visent à améliorer les performances des sept établissements. «Le secteur bancaire public ivoirien connaît d’énormes difficultés à garantir un niveau d’activité et de rentabilité optimum. Par conséquent, le Conseil a adopté une stratégie de redimensionnement du secteur bancaire public, privilégiant la nécessité de maintenir les fonctions de service public qu’assurent les banques publiques, tout en optimisant leur fonctionnement», souligne un communiqué publié par le conseil des ministres.
La restructuration du secteur bancaire, dont le calendrier n’a pas été divulgué, vise, selon le même communiqué, à «limiter les pertes structurelles de certains établissements, susceptibles d’avoir une incidence sur le budget de l’Etat » et à «créer un pôle bancaire public performant, à même d’accompagner les politiques sectorielles de l’Etat».
Ecofin
D’autre part, l’Etat va se céder ses parts de 49% dans le capital de la Société Ivoirienne de Banque (SIB), une filiale du groupe marocain Attijariwafa Bank, et sa participation de 20% dans la BIAO-CI (Banque internationale pour l'Afrique occidentale-Côte d’Ivoire), qui est détenue à hauteur de 80% par un consortium formé par la Nouvelle Société d’Assurance en Côte d’Ivoire (groupe NSIA) et l’Institution de Prévoyance sociale (IPS-CNPS).
Ces diverses opérations visent à améliorer les performances des sept établissements. «Le secteur bancaire public ivoirien connaît d’énormes difficultés à garantir un niveau d’activité et de rentabilité optimum. Par conséquent, le Conseil a adopté une stratégie de redimensionnement du secteur bancaire public, privilégiant la nécessité de maintenir les fonctions de service public qu’assurent les banques publiques, tout en optimisant leur fonctionnement», souligne un communiqué publié par le conseil des ministres.
La restructuration du secteur bancaire, dont le calendrier n’a pas été divulgué, vise, selon le même communiqué, à «limiter les pertes structurelles de certains établissements, susceptibles d’avoir une incidence sur le budget de l’Etat » et à «créer un pôle bancaire public performant, à même d’accompagner les politiques sectorielles de l’Etat».
Ecofin