Selon elle, cette cérémonie marque un moment historique dans le développement social et économique du Sénégal, en particulier le développement humain axée sur la nutrition dans les premières années de la vie.
En effet, poursuit-elle, c’est au cours de cette courte période qui dure près de 1,000 jours entre le début de la grossesse et l’âge de 24 mois – que le développement physique et cognitif se réalise à une grande vitesse et que s’établit de manière irréversible le potentiel d’un individu.
«Les progrès réalisés par le Sénégal à assurer une meilleure nutrition aux enfants durant cette période délicate de leur existence illustre parfaitement que les investissements dans la nutrition sont non seulement réalisables mais aussi et surtout, ils peuvent conduire à des réussites tangibles», informe-t-elle.
En plus, il me plait de saluer à sa juste valeur, le partenariat entre le Gouvernement du Sénégal et la Banque mondiale auquel d’autres partenaires se sont joints. Et en dernière lieu, nous devons reconnaitre le rôle d’avant-garde que le Sénégal a joué dans le domaine de la nutrition, piloté par un leadership au plus haut niveau, et ceci bien avant que la nutrition ait pris une position privilégiée dans les débats internationaux sur le développement.
En 2002, note toujours la représentante de la Banque mondiale, le Gouvernement avait le courage de prendre un crédit d’environ 8,7 milliard de Francs CFA pour piloter cette nouvelle approche axée sur le retard de croissance dans les 1,000 premiers jours. Les équipes de la Cellule de Lutte contre la Malnutrition (CLM) et de la Banque mondiale travaillaient ensemble suivant une approche dans laquelle les deux parties s’inspiraient mutuellement élevant ainsi au plus haut niveau la réflexion.
Oumar Nourou
En effet, poursuit-elle, c’est au cours de cette courte période qui dure près de 1,000 jours entre le début de la grossesse et l’âge de 24 mois – que le développement physique et cognitif se réalise à une grande vitesse et que s’établit de manière irréversible le potentiel d’un individu.
«Les progrès réalisés par le Sénégal à assurer une meilleure nutrition aux enfants durant cette période délicate de leur existence illustre parfaitement que les investissements dans la nutrition sont non seulement réalisables mais aussi et surtout, ils peuvent conduire à des réussites tangibles», informe-t-elle.
En plus, il me plait de saluer à sa juste valeur, le partenariat entre le Gouvernement du Sénégal et la Banque mondiale auquel d’autres partenaires se sont joints. Et en dernière lieu, nous devons reconnaitre le rôle d’avant-garde que le Sénégal a joué dans le domaine de la nutrition, piloté par un leadership au plus haut niveau, et ceci bien avant que la nutrition ait pris une position privilégiée dans les débats internationaux sur le développement.
En 2002, note toujours la représentante de la Banque mondiale, le Gouvernement avait le courage de prendre un crédit d’environ 8,7 milliard de Francs CFA pour piloter cette nouvelle approche axée sur le retard de croissance dans les 1,000 premiers jours. Les équipes de la Cellule de Lutte contre la Malnutrition (CLM) et de la Banque mondiale travaillaient ensemble suivant une approche dans laquelle les deux parties s’inspiraient mutuellement élevant ainsi au plus haut niveau la réflexion.
Oumar Nourou