chroniques
M. Baldé présidait un atelier de lancement portant sur le thème : « Une révolution des données pour informer le programme de développement post OMD 2015 » organisé par l’Initiative prospective agricole et rurale (IPAR).
Selon le ministre, ces OMD ont été critiqués pour deux principales raisons. D’une part, leur faible intégration dans les programmes et plans nationaux de développement, conduisant ainsi à une faible appropriation nationale. D’autre part, signale le M. Ministre, il y a l’inadéquation des données et des informations disponibles pour évaluer les progrès de développement, ce qui est renforcé par la faiblesse des capacités statistiques.
Cependant, il a relevé que les OMD ont permis de réaliser des progrès sans précédent en matière de développement. Ainsi, le rapport du Panel de haut niveau des éminentes personnalités chargé du programme de développement pour l’après-2015 des Nations Unies, il avance que la réduction de la pauvreté la plus rapide de l’histoire de l’humanité a été observée lors des 13 années qui ont suivi l’entrée dans le nouveau millénaire. Il a également souligné le nombre de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté international fixé à 1,25 dollar par jour et qui a diminué d’un demi-milliard.
« A quelques mois de la date d’échéance des OMD en 2015, il devient plus qu’urgent de réfléchir sur le nouveau programme de développement qui devrait succéder aux OMD », a soutenu le ministre.
M. Cheikh Oumar Bâ directeur exécutif de l’IPAR estime que l’initiative de sa structure porte sur le cadre de développement après-2015 et la révolution des données et qui est conduite parCenter for Policy Dialogue (CPD) et North South Institute (NSI) en collaboration avec Southern Voice on Post-MDG International Development Goals. Elle concerne six pays : Bangladesh, Canada, Indonésie, Pérou, Sénégal et Tanzanie.
L’objectif global est d’informer les négociations post-2015, et en conséquence le nouveau cadre et l’architecture de sa mise en œuvre, en tenant compte des mesures et en montrant comment le cadre peut être à la fois universel et pertinent au niveau national et quelles sont les contraintes en matière de données et de mesures qui peuvent en constituer des limites.
Ndeye Maguette Kebé
Selon le ministre, ces OMD ont été critiqués pour deux principales raisons. D’une part, leur faible intégration dans les programmes et plans nationaux de développement, conduisant ainsi à une faible appropriation nationale. D’autre part, signale le M. Ministre, il y a l’inadéquation des données et des informations disponibles pour évaluer les progrès de développement, ce qui est renforcé par la faiblesse des capacités statistiques.
Cependant, il a relevé que les OMD ont permis de réaliser des progrès sans précédent en matière de développement. Ainsi, le rapport du Panel de haut niveau des éminentes personnalités chargé du programme de développement pour l’après-2015 des Nations Unies, il avance que la réduction de la pauvreté la plus rapide de l’histoire de l’humanité a été observée lors des 13 années qui ont suivi l’entrée dans le nouveau millénaire. Il a également souligné le nombre de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté international fixé à 1,25 dollar par jour et qui a diminué d’un demi-milliard.
« A quelques mois de la date d’échéance des OMD en 2015, il devient plus qu’urgent de réfléchir sur le nouveau programme de développement qui devrait succéder aux OMD », a soutenu le ministre.
M. Cheikh Oumar Bâ directeur exécutif de l’IPAR estime que l’initiative de sa structure porte sur le cadre de développement après-2015 et la révolution des données et qui est conduite parCenter for Policy Dialogue (CPD) et North South Institute (NSI) en collaboration avec Southern Voice on Post-MDG International Development Goals. Elle concerne six pays : Bangladesh, Canada, Indonésie, Pérou, Sénégal et Tanzanie.
L’objectif global est d’informer les négociations post-2015, et en conséquence le nouveau cadre et l’architecture de sa mise en œuvre, en tenant compte des mesures et en montrant comment le cadre peut être à la fois universel et pertinent au niveau national et quelles sont les contraintes en matière de données et de mesures qui peuvent en constituer des limites.
Ndeye Maguette Kebé
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