Il présentait la balance des paiements du Sénégal pour 2013 lors de la 7ème journée de diffusion des comptes extérieurs du Sénégal organisé par la BCEAO. En 2012, ajoute M. Sy, le niveau du PEGN se situait à moins 3478,6 milliards FCFA. il sera complété par M. Mamadou Camara directeur national de la BCEAO qui estime que « la structure de l’ endettement du Sénégal est plus bilatérale que liée au marché international ».
Le déficit des transactions courantes est ressorti à 765,5 milliards FCFA, soit 10,5% du PIB contre 780,1 milliards FCFA, soit 10,9% du PIB en 2012. Explique cette atténuation, M. Sy soutient qu’elle est due au repli du solde déficitaire des échanges de biens et services qui s’est établi à 20,9% du PIB après 21,2% du PIB en 2012 et par la progression de l’excédent du compte de revenu secondaire (12,5% du PIB en 2012 à 12,6% en 2013).
Concernant le compte du revenu primaire, M. Sy affirme que son solde débiteur s’est dégradé de 0,1 point de PIB à 2,2% du PIB.
« L’évolution des comptes des transactions courantes et de capital, soutient M. Sy, fait ressortir un besoin de financement de l’économie de 584 milliards FCFA, soit 8% du PIB ». selon lui, ce besoin est couvert par le compte financier à hauteur de 551,6 milliards en liaison aux investissements directs étrangers (137,3 milliards) et les autres investissements (419,8 milliards).
El Hadj Diakhaté
Le déficit des transactions courantes est ressorti à 765,5 milliards FCFA, soit 10,5% du PIB contre 780,1 milliards FCFA, soit 10,9% du PIB en 2012. Explique cette atténuation, M. Sy soutient qu’elle est due au repli du solde déficitaire des échanges de biens et services qui s’est établi à 20,9% du PIB après 21,2% du PIB en 2012 et par la progression de l’excédent du compte de revenu secondaire (12,5% du PIB en 2012 à 12,6% en 2013).
Concernant le compte du revenu primaire, M. Sy affirme que son solde débiteur s’est dégradé de 0,1 point de PIB à 2,2% du PIB.
« L’évolution des comptes des transactions courantes et de capital, soutient M. Sy, fait ressortir un besoin de financement de l’économie de 584 milliards FCFA, soit 8% du PIB ». selon lui, ce besoin est couvert par le compte financier à hauteur de 551,6 milliards en liaison aux investissements directs étrangers (137,3 milliards) et les autres investissements (419,8 milliards).
El Hadj Diakhaté