Gabriel Fal baptisé « Mozart » du marché financier ouest-africain
1998-2018 : les 20 ans de CGF Bourse ont été fêtés en grande pompe ce lundi 9 juillet à Dakar. Gabriel Fal, fondateur de cette 1ère SGI agréée au Sénégal et leader dans plusieurs domaines sur le marché financier et boursier en Afrique de l’Ouest, était ainsi la principale attraction.
Une manière pour ses collaborateurs, partenaires, anciens collègues à City Bank, entre autres acteurs du marché financier régional, de mettre la réussite de cette SGI à son actif. Ce qui lui a d’ailleurs valu le nom de « Mozart du marché financier ».
L’émotion était à son comble après les témoignages de Pierre Goudiaby Atepa, actuel PCA de la BRVM, Evelyne Tall, ancien patron d’Ecobank Transnational Incorporated, Me Moustapha Ndiaye, Président de la Chambre des notaires du Sénégal, Fatoumata Zahra Diop, Ancienne directrice nationale de la BCEAO au Sénégal, Cheikh Tidiane Mbaye, ancien patron de la SONATEL, Ousmane Ndiaye, Secrétaire Permanent du Comité d’orientation stratégique du pétrole et du gaz (COS Petrogaz), François Bakou…
Seydina Tandian, Président Directeur Général de l’Agence de notation financière WARA dira tout simplement que Gabriel Fal a inspiré la jeune génération en tant que pionnier et mais aussi par la qualité de la relève à CGF.
Une manière pour ses collaborateurs, partenaires, anciens collègues à City Bank, entre autres acteurs du marché financier régional, de mettre la réussite de cette SGI à son actif. Ce qui lui a d’ailleurs valu le nom de « Mozart du marché financier ».
L’émotion était à son comble après les témoignages de Pierre Goudiaby Atepa, actuel PCA de la BRVM, Evelyne Tall, ancien patron d’Ecobank Transnational Incorporated, Me Moustapha Ndiaye, Président de la Chambre des notaires du Sénégal, Fatoumata Zahra Diop, Ancienne directrice nationale de la BCEAO au Sénégal, Cheikh Tidiane Mbaye, ancien patron de la SONATEL, Ousmane Ndiaye, Secrétaire Permanent du Comité d’orientation stratégique du pétrole et du gaz (COS Petrogaz), François Bakou…
Seydina Tandian, Président Directeur Général de l’Agence de notation financière WARA dira tout simplement que Gabriel Fal a inspiré la jeune génération en tant que pionnier et mais aussi par la qualité de la relève à CGF.
Mamadou Ndiaye,Président du Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers (Crepmf)
Pour le président du Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers (Crepmf), M. Mamadou Ndiaye 20 ans c’est la majorité, la maturité, une étape symbolique de changement et d’amélioration.
A son avis, CGF Bourse est la première SGI inaugurant l’ère du marché financier dans sa dimension régionale. Et que « Gabriel Fal fait partie de ceux qui ont très tôt compris l’importance des enjeux stratégiques qui avaient poussé les Autorités de l’Union à faire émerger un MFR pour compléter l’architecture de notre système financier ».
A l’unanimité, ces personnalités ont magnifié les qualités d’un manager « hors pair » qui, selon eux, expliquent le succès engendré par CGF Bourse.
Les acquis d’une maturité qui, d’après Marie Odile Sène Kantoussan, actuelle Directrice de CGF Bourse, ont été réalisés malgré un chemin long mais pas toujours facile.
Cachant mal sa joie et sa fierté après ces 20 ans de réalisation, Mme Kantoussan a rendu un vibrant hommage à Gabriel Fal qu’elle qualifie d’éminent expert en ingénierie financière. « Gabriel Fal a porté très haut le flambeau du marché financier », dira-t-elle.
En 20 ans de parcours CGF est ainsi passée d’un capital social de 150 millions de F Cfa à 1,500 milliards de F Cfa, aujourd’hui. Et de 06 à 39 employés.
Elle a été arrangeur et chef de fil de plusieurs opérations au profit des Etats comme celui du Sénégal en 2005, le Tchad en 2013.
Les responsables de CGF Bourse disent être aussi beaucoup marqués par les emprunts obligataires de la Sonatel en 1999 qui, selon Gabriel Fal, a été un peu l’incubateur de CGF Bourse.
A cela s’ajoutent les Industries chimiques du Sénégal (ICS) en 2001, le Port autonomes de Dakar (Pad) en 2005…
Des succès qui lui ont valu une certification de l’ensemble de ses activités en 2005, la notation en Qualité de Gestion QSG1, équivaut à cinq étoiles avec une perspective stable, que vient de lui assigner l’agence WARA…
Très ému, la « star du jour » confie que comme toute histoire, la partie préhistorique de CGF Bourse a été conçue à City Bank où il avait capitalisé 13 ans d’expérience non négligeable l’ayant incité à lancer sa SGI.
Poursuivre au maximum le défi de la digitalisation
Sur les 30 SGI de la zone UEMOA, CGF Bourse est généralement classée première en volume d’affaires avec un portefeuille de vingt mille clients.
Ce qui pose le défi de la digitalisation déjà enclenchée mais également poursuivre au maximum pour que l’activité puisse passer en ligne le plus souvent, souhaite Gabriel Fal.
Une orientation légitime du moment que les estimations révèlent, qu’un potentiel d’épargne de près de 500 milliards de F Cfa est disponible dans la sous-région chaque année et ne demande qu’à être mobilisé.
Rien qu’en 2017, confie Mamadou Ndiaye, le marché financier a payé des intérêts sur obligations, cotées et non cotées, pour un montant total de 158,115 milliards de F Cfa au seul bénéfice des investisseurs institutionnels et des particuliers.
A cela M. Ndiaye y greffe les dividendes distribués la même année, à travers les 45 sociétés cotées sur la BRVM, pour un montant global de 101 milliards de F Cfa.
C’est ainsi qu’à travers CGF Bourse, le président du CREPMF encourage les acteurs du marché à poursuivre les actions d’innovation et de vulgarisation de la culture boursière pour une contribution à l’atteinte des objectifs du Plan Stratégique 2014 – 2021 du marché financier régional et des mesures de réformes.
Mariama Diallo
A son avis, CGF Bourse est la première SGI inaugurant l’ère du marché financier dans sa dimension régionale. Et que « Gabriel Fal fait partie de ceux qui ont très tôt compris l’importance des enjeux stratégiques qui avaient poussé les Autorités de l’Union à faire émerger un MFR pour compléter l’architecture de notre système financier ».
A l’unanimité, ces personnalités ont magnifié les qualités d’un manager « hors pair » qui, selon eux, expliquent le succès engendré par CGF Bourse.
Les acquis d’une maturité qui, d’après Marie Odile Sène Kantoussan, actuelle Directrice de CGF Bourse, ont été réalisés malgré un chemin long mais pas toujours facile.
Cachant mal sa joie et sa fierté après ces 20 ans de réalisation, Mme Kantoussan a rendu un vibrant hommage à Gabriel Fal qu’elle qualifie d’éminent expert en ingénierie financière. « Gabriel Fal a porté très haut le flambeau du marché financier », dira-t-elle.
En 20 ans de parcours CGF est ainsi passée d’un capital social de 150 millions de F Cfa à 1,500 milliards de F Cfa, aujourd’hui. Et de 06 à 39 employés.
Elle a été arrangeur et chef de fil de plusieurs opérations au profit des Etats comme celui du Sénégal en 2005, le Tchad en 2013.
Les responsables de CGF Bourse disent être aussi beaucoup marqués par les emprunts obligataires de la Sonatel en 1999 qui, selon Gabriel Fal, a été un peu l’incubateur de CGF Bourse.
A cela s’ajoutent les Industries chimiques du Sénégal (ICS) en 2001, le Port autonomes de Dakar (Pad) en 2005…
Des succès qui lui ont valu une certification de l’ensemble de ses activités en 2005, la notation en Qualité de Gestion QSG1, équivaut à cinq étoiles avec une perspective stable, que vient de lui assigner l’agence WARA…
Très ému, la « star du jour » confie que comme toute histoire, la partie préhistorique de CGF Bourse a été conçue à City Bank où il avait capitalisé 13 ans d’expérience non négligeable l’ayant incité à lancer sa SGI.
Poursuivre au maximum le défi de la digitalisation
Sur les 30 SGI de la zone UEMOA, CGF Bourse est généralement classée première en volume d’affaires avec un portefeuille de vingt mille clients.
Ce qui pose le défi de la digitalisation déjà enclenchée mais également poursuivre au maximum pour que l’activité puisse passer en ligne le plus souvent, souhaite Gabriel Fal.
Une orientation légitime du moment que les estimations révèlent, qu’un potentiel d’épargne de près de 500 milliards de F Cfa est disponible dans la sous-région chaque année et ne demande qu’à être mobilisé.
Rien qu’en 2017, confie Mamadou Ndiaye, le marché financier a payé des intérêts sur obligations, cotées et non cotées, pour un montant total de 158,115 milliards de F Cfa au seul bénéfice des investisseurs institutionnels et des particuliers.
A cela M. Ndiaye y greffe les dividendes distribués la même année, à travers les 45 sociétés cotées sur la BRVM, pour un montant global de 101 milliards de F Cfa.
C’est ainsi qu’à travers CGF Bourse, le président du CREPMF encourage les acteurs du marché à poursuivre les actions d’innovation et de vulgarisation de la culture boursière pour une contribution à l’atteinte des objectifs du Plan Stratégique 2014 – 2021 du marché financier régional et des mesures de réformes.
Mariama Diallo