‘‘De nouveaux défis interpellent tout le monde, parce que de nouveaux acteurs investissent actuellement les services financiers, notamment la monnaie électronique, au sein de l’union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA)’’, a relevé Tiémoko Meyliet Koné.
Le gouverneur de la BCEAO, qui intervenait à l’occasion de l’ouverture du 5e salon monétique, initié par le groupe interbancaire et monétique (GIM) de l’UEMOA, a soutenu que l’accès à la monnaie électronique peut à terme ‘‘permettre aux populations de bénéficier des services bancaires de base’’.
Il a à propos du thème du 5e salon monétique du GIM : le ‘‘mobile money et le mobile banking, vecteur de l’inclusion financière et de la bancarisation en Afrique : enjeux et perspectives’’, estimé que c’est un ‘‘choix qui s’est fait à juste titre’’.
‘‘L’infrastructure de la monnaie électronique doit intéresser tous les acteurs accrédités, dans notre système financier, Banques comme institutions financières. Et l’exemple d’un pays comme la Cote d’ivoire, ou la monnaie électronique permet le paiement des frais de scolarité est la preuve que des avancées sont possibles dans ce sens’’, a souligné M. Koné.
Il a toutefois invité ceux qui investissent le secteur de la monnaie électronique à plus de vigilance, en tenant, notamment en compte, le niveau de sécurité.
‘‘Le niveau de sécurité des populations doit être tenu en compte dans la gestion de la monnaie électronique. C’est gage de stabilité pour notre système financier’’, a-t-il lancé, non sans faire part du soutien de la BCEAO.
Selon toujours le gouverneur de l’Institut d’émission, sa structure ne ‘‘ménagera aucun effort pour soutenir de façon impartiale, tous les acteurs qui se décident à investir le secteur de la monnaie électronique’’.
Auparavant, Tiémoko Meyliet Koné a invité les administrateurs du GIM de l’UEMOA, à faire plus, par rapport aux objectifs qui leur sont assignés.
‘‘Les résultats du GIM depuis sa création, sont certes appréciables, mais sont en deçà de nos attentes, d’où l’obligation, pour ceux qui sont en charge de sa gestion de faire mieux’’, a-t-il dit.
Idrissa Gueye
Le gouverneur de la BCEAO, qui intervenait à l’occasion de l’ouverture du 5e salon monétique, initié par le groupe interbancaire et monétique (GIM) de l’UEMOA, a soutenu que l’accès à la monnaie électronique peut à terme ‘‘permettre aux populations de bénéficier des services bancaires de base’’.
Il a à propos du thème du 5e salon monétique du GIM : le ‘‘mobile money et le mobile banking, vecteur de l’inclusion financière et de la bancarisation en Afrique : enjeux et perspectives’’, estimé que c’est un ‘‘choix qui s’est fait à juste titre’’.
‘‘L’infrastructure de la monnaie électronique doit intéresser tous les acteurs accrédités, dans notre système financier, Banques comme institutions financières. Et l’exemple d’un pays comme la Cote d’ivoire, ou la monnaie électronique permet le paiement des frais de scolarité est la preuve que des avancées sont possibles dans ce sens’’, a souligné M. Koné.
Il a toutefois invité ceux qui investissent le secteur de la monnaie électronique à plus de vigilance, en tenant, notamment en compte, le niveau de sécurité.
‘‘Le niveau de sécurité des populations doit être tenu en compte dans la gestion de la monnaie électronique. C’est gage de stabilité pour notre système financier’’, a-t-il lancé, non sans faire part du soutien de la BCEAO.
Selon toujours le gouverneur de l’Institut d’émission, sa structure ne ‘‘ménagera aucun effort pour soutenir de façon impartiale, tous les acteurs qui se décident à investir le secteur de la monnaie électronique’’.
Auparavant, Tiémoko Meyliet Koné a invité les administrateurs du GIM de l’UEMOA, à faire plus, par rapport aux objectifs qui leur sont assignés.
‘‘Les résultats du GIM depuis sa création, sont certes appréciables, mais sont en deçà de nos attentes, d’où l’obligation, pour ceux qui sont en charge de sa gestion de faire mieux’’, a-t-il dit.
Idrissa Gueye