Selon lui, ce renouveau est fondé, à terme, sur plus de partenariat et moins d’aide, par l’exploitation optimale des secteurs stratégiques de l’économie sénégalaise, qui portent la croissance et l’emploi. C’est le cas notamment avec l’agriculture, les infrastructures, l’énergie, les mines, le tourisme, les Technologies de l’information et de la communication et l’habitat.
De l’avis de M. Sall dans chacun de ces domaines, le Sénégal a des besoins à satisfaire, mais également des opportunités d’investissements et de partenariats à offrir.
Macky Sall a évoqué, devant les partenaires technique et financiers (PTF) trois piliers majeurs du volet économique du PSE. Il s’agit d’abord de l’agriculture « Nous voulons produire plus et mieux, pour atteindre l’autosuffisance alimentaire et pour exporter ».
Le deuxième pilier concerne les infrastructures avec notamment la densification du réseau routier, avec 33 projets majeurs en cours et la réalisation de nouveaux projets d’autoroutes à péage.
Le troisième pilier évoqué par le président concerne l’énergie
« Notre ambition pour le renouveau productif du Sénégal, c’est aussi la volonté que nous avons de promouvoir, autant dans les textes que par les actes, une meilleure gouvernance politique, administrative et financière de notre pays », a encore déclaré le président sénégalais devant les bailleurs de fonds.
Macky Sall a cependant souligné quelques limites du Sénégal qui sont, pour l’essentiel une faible productivité du secteur informel, une vulnérabilité aux chocs exogènes, la faible rentabilité des investissements publics ainsi que le retard accusé dans la réforme de certains secteurs indispensables à la compétitivité de l’économie. C’est ce qui est à l’origine du PSE.
El Hadj Diakhaté, envoyé spécial à Paris
De l’avis de M. Sall dans chacun de ces domaines, le Sénégal a des besoins à satisfaire, mais également des opportunités d’investissements et de partenariats à offrir.
Macky Sall a évoqué, devant les partenaires technique et financiers (PTF) trois piliers majeurs du volet économique du PSE. Il s’agit d’abord de l’agriculture « Nous voulons produire plus et mieux, pour atteindre l’autosuffisance alimentaire et pour exporter ».
Le deuxième pilier concerne les infrastructures avec notamment la densification du réseau routier, avec 33 projets majeurs en cours et la réalisation de nouveaux projets d’autoroutes à péage.
Le troisième pilier évoqué par le président concerne l’énergie
« Notre ambition pour le renouveau productif du Sénégal, c’est aussi la volonté que nous avons de promouvoir, autant dans les textes que par les actes, une meilleure gouvernance politique, administrative et financière de notre pays », a encore déclaré le président sénégalais devant les bailleurs de fonds.
Macky Sall a cependant souligné quelques limites du Sénégal qui sont, pour l’essentiel une faible productivité du secteur informel, une vulnérabilité aux chocs exogènes, la faible rentabilité des investissements publics ainsi que le retard accusé dans la réforme de certains secteurs indispensables à la compétitivité de l’économie. C’est ce qui est à l’origine du PSE.
El Hadj Diakhaté, envoyé spécial à Paris