Dans ce sens, poursuit-elle, une stratégie globale et ambitieuse pour la jeunesse requit l’action coordonnée sur multiples fronts:s’assurer que les 300,000 jeunes qui entrent sur le marché de travail chaque année ont des compétences en phase avec ce que le marché demande. Pour ceci, il faut améliorer la qualité de l’éducation traditionnelle, y compris plus d’emphase sur les domaines exigées par le marché comme les sciences et mathématiques. Ensuite, il faut aussi créer des programmes pour faciliterl’accèsà un travail de qualité – exploiter les medias sociaux pour réduire l’insuffisance d’informations sur le marché du travail et créer des liens entre les jeunes et les emplois, développer des programmes d’apprentissage certifies, programmes de crédit pour les jeunes avec l’appui pour business plans, etc.
De même, dans le défis de la jeunesse, il ne faut pas oublier le piller de l’inclusion sociale. Il faut que tous les jeunes puissent s’insérer dans la société, et ce, quel que soit l’endroit où ils vivent et leur statut socioéconomique. Enfin, pour finir, il faut également s’atteler à diminuer les inégalités de genre, qu’aujourd’hui font que presque 2 tiers des femmes sénégalaise ne soit pas actives économiquement. Le rapport de la Banque Mondiale sur le développement dans le monde de 2012 dédié au genre nous a expliqué très clairement que ces inégalités de genre sont le résultat d’une interaction complexe de facteurs, relavant des marchés et des institutions formels, y compris le cadre règlementaire et légal, et informelle, comme les normes sociales.
«Cesquatre piliers pour soutenir les jeunes vont bien au-delà de la responsabilité d'un seul secteur ou d'un seul ministère. Il faut donc trouver des solutions pluridisciplinaires pour développer les compétences pertinentes, favoriser la transition vers un emploi productif, et mieux intégrer les jeunes non scolarisés ou déscolarisés», conclut Sophie Naudeau.
Pathé TOURE
De même, dans le défis de la jeunesse, il ne faut pas oublier le piller de l’inclusion sociale. Il faut que tous les jeunes puissent s’insérer dans la société, et ce, quel que soit l’endroit où ils vivent et leur statut socioéconomique. Enfin, pour finir, il faut également s’atteler à diminuer les inégalités de genre, qu’aujourd’hui font que presque 2 tiers des femmes sénégalaise ne soit pas actives économiquement. Le rapport de la Banque Mondiale sur le développement dans le monde de 2012 dédié au genre nous a expliqué très clairement que ces inégalités de genre sont le résultat d’une interaction complexe de facteurs, relavant des marchés et des institutions formels, y compris le cadre règlementaire et légal, et informelle, comme les normes sociales.
«Cesquatre piliers pour soutenir les jeunes vont bien au-delà de la responsabilité d'un seul secteur ou d'un seul ministère. Il faut donc trouver des solutions pluridisciplinaires pour développer les compétences pertinentes, favoriser la transition vers un emploi productif, et mieux intégrer les jeunes non scolarisés ou déscolarisés», conclut Sophie Naudeau.
Pathé TOURE