chroniques
«D’ici le 3 mars prochain, dans l’agglomération de la ville de Dakar, quiconque aura un accident de la circulation à conséquence matérielle, dans les 15 minutes qui suivront, aura un constat gratuit, accessible à tous », affirme M. Noba et par ailleurs constat à l’amiable.
Selon lui, la FSSA est partie de l’importance du parc automobile au Sénégal qui s’établit aujourd’hui à 500.000 véhicules. Parmi eux, 400.000 sont immatriculés à Dakar. De l’avis de M. Noba, à chaque fois qu’il y a un accident de la circulation, cela impacte négativement la mobilité. De plus, signale-t-il, les retours d’accident de la part des assurés des compagnies d’assurances ont mis en exergue le fait qu’ils perdaient trop de temps en cas de sinistres. « D’où la mise en place du projet afin de permettre aux victimes de la circulation d’avoir un constat et surtout d’aider les automobilistes se trouvant derrières les voitures accidentées et qui sont dans l’impossibilité de circuler », affirme encore M. Noba.
Pour mener à bien ce projet, la FSSA va recruter des jeunes et les former pour faire les constats. Ils seront mobiles 24h/24.
Se prononçant sur l’impact que le projet aura sur le règlement rapide des sinistres, M. Noba a laissé entendre que « plus vite le constat sera fait, plus vite le règlement se fera ». il justifie ses propos par le fait que pour régler un dossier de sinistre, il faut connaître ce sinistre. Or, il est impossible de le faire sans le constat.
Dans son business plan, la FSSA a procédé au découpage la ville de Dakar en quatre sites stratégiques avec des kiosques clé en main sans compter la mise en place d’un système d’information automatisé. Selon M. Noba, l’option retenue avec la Sonatel est le kiosque vocal qui consiste à centraliser la réception des appels téléphoniques des sinistrés au niveau du centre d’appel par un numéro dédié. Ce dispositif permettra notamment de dispatcher les appels des sinistrés auprès d’agents constateurs dotés de scooters géo-localisés selon leur proximité du lieu du sinistre.
Quotidiennement, les constats seront regroupés au sein de la division dédiée à cet effet puis acheminés dès le lendemain aux compagnies d’assurances concernées.
El Hadj Diakhaté
Selon lui, la FSSA est partie de l’importance du parc automobile au Sénégal qui s’établit aujourd’hui à 500.000 véhicules. Parmi eux, 400.000 sont immatriculés à Dakar. De l’avis de M. Noba, à chaque fois qu’il y a un accident de la circulation, cela impacte négativement la mobilité. De plus, signale-t-il, les retours d’accident de la part des assurés des compagnies d’assurances ont mis en exergue le fait qu’ils perdaient trop de temps en cas de sinistres. « D’où la mise en place du projet afin de permettre aux victimes de la circulation d’avoir un constat et surtout d’aider les automobilistes se trouvant derrières les voitures accidentées et qui sont dans l’impossibilité de circuler », affirme encore M. Noba.
Pour mener à bien ce projet, la FSSA va recruter des jeunes et les former pour faire les constats. Ils seront mobiles 24h/24.
Se prononçant sur l’impact que le projet aura sur le règlement rapide des sinistres, M. Noba a laissé entendre que « plus vite le constat sera fait, plus vite le règlement se fera ». il justifie ses propos par le fait que pour régler un dossier de sinistre, il faut connaître ce sinistre. Or, il est impossible de le faire sans le constat.
Dans son business plan, la FSSA a procédé au découpage la ville de Dakar en quatre sites stratégiques avec des kiosques clé en main sans compter la mise en place d’un système d’information automatisé. Selon M. Noba, l’option retenue avec la Sonatel est le kiosque vocal qui consiste à centraliser la réception des appels téléphoniques des sinistrés au niveau du centre d’appel par un numéro dédié. Ce dispositif permettra notamment de dispatcher les appels des sinistrés auprès d’agents constateurs dotés de scooters géo-localisés selon leur proximité du lieu du sinistre.
Quotidiennement, les constats seront regroupés au sein de la division dédiée à cet effet puis acheminés dès le lendemain aux compagnies d’assurances concernées.
El Hadj Diakhaté
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