Selon un communiqué de presse, depuis sa création en 2021, l'Afis a évolué en une plateforme stratégique de dialogue public-privé visant à transformer le paysage financier africain. Cette édition est axée sur le thème « construire une industrie financière africaine de classe mondiale : une opportunité à 1 500 milliards de dollars ». Elle réunit les leaders des secteurs public et privé pour une industrie financière africaine souveraine, autour de quatre défis majeurs : l'attraction des investissements institutionnels africains vers les marchés de capitaux locaux, la garantie de la libre circulation des capitaux et l'harmonisation réglementaire, la promotion des talents indispensables à la transformation numérique, et l'innovation, notamment dans des domaines tels que la finance climatique et la tokenisation.
Dans un contexte économique mondial instable, où l'Afrique fait face à l’inflation, la hausse des taux d'intérêt, aux tensions sur les marchés mondiaux et au retrait des grandes banques et assureurs mondiaux, l'Afis 2023 se positionne comme un catalyseur de la relance économique du continent en aidant à élaborer des actions indispensables à une finance inclusive, robuste et fiable.
«Le thème des crises laisse place à celui des opportunités. Le dynamisme économique en Afrique de l'Ouest a de quoi nous laisser optimiste. L'Afrique subsaharienne toute entière s'engage sur le chemin de la reprise. À plus long terme, la Zlecaf saura ancrer cette reprise dans la durée. Nous ne pouvons reprendre le contrôle du récit africain sans une action concertée. L'Afrique doit regagner collectivement la maitrise de son narratif », a déclaré Faure Essozimna Gnassigbé, Président de la République togolaise
«Le secteur financier joue un rôle absolument essentiel dans l'accompagnement de l'émergence d'une Afrique inclusive et connectée, ainsi que de la transition énergétique du continent." "Le destin de la ZLECAf ne dépend pas uniquement du secteur public. Le secteur privé, et particulièrement celui de la finance, joue un rôle déterminant. Si les défis sont nombreux, les opportunités sont toutes aussi nombreuses. L'industrie financière a un rôle primordial à jouer pour aider ce continent à saisir ces opportunités », a ajouté Sérgio Pimenta, vice-président d’Ifc pour l'Afrique.
«Notre intime conviction est que nous devons tirer parti de la situation plutôt que d'attendre que l’orage passe, car l’Afrique est la nouvelle frontière." "Face aux poly crises et pour relever les défis auquel est confronté le secteur de la finance, l'AFIS se positionne aux côtés des acteurs du secteur en tant que catalyseur de nos ambitions communes », a affirmé Ramatoulaye Goudiaby, directrice de Afis.
Pendant deux jours, plus d'une trentaine de conférences, ateliers et tables rondes offriront aux leaders l'opportunité de contribuer activement à la reprise économique de l'Afrique, positionnant l'Afis comme le lieu de dialogue essentiel entre les acteurs des secteurs public (ministres de l'Économie et des Finances, banquiers centraux, régulateurs) et privé (dirigeants des principales institutions financières, banquiers, assureurs, fintechs et opérateurs de mobile money, marchés de capitaux.).
Adou Faye
Dans un contexte économique mondial instable, où l'Afrique fait face à l’inflation, la hausse des taux d'intérêt, aux tensions sur les marchés mondiaux et au retrait des grandes banques et assureurs mondiaux, l'Afis 2023 se positionne comme un catalyseur de la relance économique du continent en aidant à élaborer des actions indispensables à une finance inclusive, robuste et fiable.
«Le thème des crises laisse place à celui des opportunités. Le dynamisme économique en Afrique de l'Ouest a de quoi nous laisser optimiste. L'Afrique subsaharienne toute entière s'engage sur le chemin de la reprise. À plus long terme, la Zlecaf saura ancrer cette reprise dans la durée. Nous ne pouvons reprendre le contrôle du récit africain sans une action concertée. L'Afrique doit regagner collectivement la maitrise de son narratif », a déclaré Faure Essozimna Gnassigbé, Président de la République togolaise
«Le secteur financier joue un rôle absolument essentiel dans l'accompagnement de l'émergence d'une Afrique inclusive et connectée, ainsi que de la transition énergétique du continent." "Le destin de la ZLECAf ne dépend pas uniquement du secteur public. Le secteur privé, et particulièrement celui de la finance, joue un rôle déterminant. Si les défis sont nombreux, les opportunités sont toutes aussi nombreuses. L'industrie financière a un rôle primordial à jouer pour aider ce continent à saisir ces opportunités », a ajouté Sérgio Pimenta, vice-président d’Ifc pour l'Afrique.
«Notre intime conviction est que nous devons tirer parti de la situation plutôt que d'attendre que l’orage passe, car l’Afrique est la nouvelle frontière." "Face aux poly crises et pour relever les défis auquel est confronté le secteur de la finance, l'AFIS se positionne aux côtés des acteurs du secteur en tant que catalyseur de nos ambitions communes », a affirmé Ramatoulaye Goudiaby, directrice de Afis.
Pendant deux jours, plus d'une trentaine de conférences, ateliers et tables rondes offriront aux leaders l'opportunité de contribuer activement à la reprise économique de l'Afrique, positionnant l'Afis comme le lieu de dialogue essentiel entre les acteurs des secteurs public (ministres de l'Économie et des Finances, banquiers centraux, régulateurs) et privé (dirigeants des principales institutions financières, banquiers, assureurs, fintechs et opérateurs de mobile money, marchés de capitaux.).
Adou Faye