L'objectif de la conférence, dont le thème: «L'industrialisation au service du développement inclusif et de la transformation en Afrique», offrira une plate-forme aux décideurs pour formuler des propositions dans le but d'accélérer la mise en œuvre du développement industriel accéléré de l'Afrique (AIDA) et de renforcer l'engagement et les actions pour l'avancement du programme de développement industriel de l'Afrique.
S'appuyant sur la session annuelle conjointe (2013) qui s'est tenue à Abidjan, cette conférence sera l'occasion d'identifier les enjeux qui doivent être abordés au niveau national, régional, continental et international pour promouvoir le développement industriel cohérent de l'Afrique selon Carlos Lopes, Secrétaire exécutif de la (CEA). En 2013, les États membres ont été invités à adopter des politiques industrielles cohérentes, créer des mécanismes institutionnels favorables à la politique industrielle et coordonner les ministères responsables pour améliorer la mise en œuvre de la politique.
Le Rapport économique sur l'Afrique 2014, produit conjointement par la CEA et la CUA, sera également lancé au cours de la réunion. Le thème du rapport de cette année est «Une industrialisation dynamique en Afrique: Des institutions novatrices, processus efficaces et mécanismes souples». Ledit rapport qui souligne l'importance de l'industrialisation comme une «condition préalable pour l'Afrique pour parvenir à une croissance économique inclusive», propose un cadre institutionnel pour la conception et la mise en œuvre de la politique industrielle en Afrique.
La justification de l'industrialisation en Afrique est fondée sur le fait que la plupart des économies africaines concentrent leur activité économique dans les secteurs de l'extraction et de produits de base. En retour, la nature capitalistique du secteur et les liens inter-sectoriels limités entre le secteur primaire et les autres secteurs de l'économie créent des possibilités limitées pour le développement de chaînes de valeur, de valeur ajoutée et de création d'emplois. En outre, les secteurs primaires sont caractérisés par une faible productivité et de bas salaires qui rendent les employés vulnérables à la pauvreté.
Alors que les pays font des efforts concertés à cet égard, les experts reconnaissent que le chemin à l'industrialisation est semé d'embuches telles que la productivité et la compétitivité nécessaires pour tirer parti de la mondialisation et de la transformation des économies. En outre, le manque d'infrastructures et le progrès technologique sont des handicaps au climat des affaires et nuisent à la productivité.
S'appuyant sur la session annuelle conjointe (2013) qui s'est tenue à Abidjan, cette conférence sera l'occasion d'identifier les enjeux qui doivent être abordés au niveau national, régional, continental et international pour promouvoir le développement industriel cohérent de l'Afrique selon Carlos Lopes, Secrétaire exécutif de la (CEA). En 2013, les États membres ont été invités à adopter des politiques industrielles cohérentes, créer des mécanismes institutionnels favorables à la politique industrielle et coordonner les ministères responsables pour améliorer la mise en œuvre de la politique.
Le Rapport économique sur l'Afrique 2014, produit conjointement par la CEA et la CUA, sera également lancé au cours de la réunion. Le thème du rapport de cette année est «Une industrialisation dynamique en Afrique: Des institutions novatrices, processus efficaces et mécanismes souples». Ledit rapport qui souligne l'importance de l'industrialisation comme une «condition préalable pour l'Afrique pour parvenir à une croissance économique inclusive», propose un cadre institutionnel pour la conception et la mise en œuvre de la politique industrielle en Afrique.
La justification de l'industrialisation en Afrique est fondée sur le fait que la plupart des économies africaines concentrent leur activité économique dans les secteurs de l'extraction et de produits de base. En retour, la nature capitalistique du secteur et les liens inter-sectoriels limités entre le secteur primaire et les autres secteurs de l'économie créent des possibilités limitées pour le développement de chaînes de valeur, de valeur ajoutée et de création d'emplois. En outre, les secteurs primaires sont caractérisés par une faible productivité et de bas salaires qui rendent les employés vulnérables à la pauvreté.
Alors que les pays font des efforts concertés à cet égard, les experts reconnaissent que le chemin à l'industrialisation est semé d'embuches telles que la productivité et la compétitivité nécessaires pour tirer parti de la mondialisation et de la transformation des économies. En outre, le manque d'infrastructures et le progrès technologique sont des handicaps au climat des affaires et nuisent à la productivité.