Fort de cette conviction, l’ancien Président la Banque africaine de développement , Dr Donald Kaberuka, lors de la conférence de presse clôturant les 49èmes Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) à Kigali , martelait avec force que le ‘’Fonds Afrique 50’’ est un concept simple adopté après douze mois de préparation et qui repose sur la mobilisation des épargnes africaines pour financer les infrastructures sur le continent’’.
Avec un financement initial de 23 pays africains actionnaires, la Banque africaine de développement (BAD), la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) et la Bank AlMaghrib (BAM), Africa50 a été lancée avec l'objectif de contribuer de faire face aux obstacles pressants de la fourniture d'infrastructures sur le continent.
« Africa50 contribue à répondre aux besoins du financement des infrastructures du continent (1,2trillions de dollars d'ici 2025) en comblant les lacunes dans leur cycle de développement. Après avoir sécurisé 812 millions de dollars US en capital engagé, l'organisation a commencé à développer son pipeline d'investissement, à recruter du personnel, à attirer de nouveaux actionnaires, et à mettre à jour sa structure de gouvernance pour anticiper le lancement d'une initiative de financement destinée à des investisseurs institutionnels et privés », indique un communiqué du ministère de l’économie , des finances et du plan du Sénégal publié en prélude de la troisième réunion d'actionnaires qui doit avoir lieu à Dakar ce 12 septembre.
Africa50 dédié au financement de projets d’infrastructures sur le continent, a établi son siège opérationnel au Maroc, recruté divers membres clés de l'équipe dirigeante, ainsi que du personnel auxiliaire, et nommé des conseillers de premier plan dans les domaines stratégique, financier et juridique.
En outre, suite à l'approbation en 2016 d'une politique provisoire de placement par son conseil d'administration, Africa50 a nommé des dirigeants internationalement reconnus au sein de son comité d'investissement, renforçant son ferme engagement envers un processus de sélection de projet rigoureux.
Adou Faye
Avec un financement initial de 23 pays africains actionnaires, la Banque africaine de développement (BAD), la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) et la Bank AlMaghrib (BAM), Africa50 a été lancée avec l'objectif de contribuer de faire face aux obstacles pressants de la fourniture d'infrastructures sur le continent.
« Africa50 contribue à répondre aux besoins du financement des infrastructures du continent (1,2trillions de dollars d'ici 2025) en comblant les lacunes dans leur cycle de développement. Après avoir sécurisé 812 millions de dollars US en capital engagé, l'organisation a commencé à développer son pipeline d'investissement, à recruter du personnel, à attirer de nouveaux actionnaires, et à mettre à jour sa structure de gouvernance pour anticiper le lancement d'une initiative de financement destinée à des investisseurs institutionnels et privés », indique un communiqué du ministère de l’économie , des finances et du plan du Sénégal publié en prélude de la troisième réunion d'actionnaires qui doit avoir lieu à Dakar ce 12 septembre.
Africa50 dédié au financement de projets d’infrastructures sur le continent, a établi son siège opérationnel au Maroc, recruté divers membres clés de l'équipe dirigeante, ainsi que du personnel auxiliaire, et nommé des conseillers de premier plan dans les domaines stratégique, financier et juridique.
En outre, suite à l'approbation en 2016 d'une politique provisoire de placement par son conseil d'administration, Africa50 a nommé des dirigeants internationalement reconnus au sein de son comité d'investissement, renforçant son ferme engagement envers un processus de sélection de projet rigoureux.
Adou Faye