À cet effet, l'Agra compte renforcer les gouvernements à encourager l'investissement privé dans les entreprises agroalimentaires locales. Une initiative baptisée MIRA (Micro reforms for african agribusiness ou réformes microéconomiques pour le secteur agroalimentaire africain) permettra de procéder à des réformes bien ciblées des politiques et réglementations agricoles. Toutes les entraves au développement de l'investissement privé dans les petites et moyennes entreprises agroalimentaires intervenant dans les chaînes de valeurs agricoles de petites exploitations devront faire l'objet d'un examen minutieux pour préparer une réforme en profondeur.
Au total, l'Agra entend motiver environ 25 réformes réglementaires ou politiques majeures dans les pays sélectionnés. Il s'agit d'arriver à mieux générer les augmentations mesurables de l'investissement du secteur privé dans les entreprises agroalimentaires locales. Le projet est financé par la fondation Gates, et il suscite déjà un espoir de voir enfin se multiplier le nombre de petits exploitants agricoles. Ces derniers devront avoir accès aux technologies améliorées venant des entreprises agroalimentaires intervenant dans les chaînes de valeurs locales d'aliments de base. L'on s'attend aussi à un meilleur accès aux opportunités de marché générant des revenus stables.
Par un effet d'entraînement, l'on projette déjà une augmentation de la productivité et des revenus des petits exploitants agricoles, et une réduction de la pauvreté pour les familles dépendantes de ces activités grâce à l'amélioration de l'accès aux marchés des intrants et produits agricoles. Avec la mise en place du projet MIRA, les décideurs africains accèderont à une assistance technique internationale et locale de qualité, explique les experts de l'Agra. Il faut corriger les réglementations actuelles très dissuasives, pour favoriser l'émergence des lois plus incitatives pour les PME agroalimentaires du secteur agricole.
Tout le sens du défi lancé est d'arriver à pousser les décideurs africains et analystes à réaliser des évaluations éclairées des décisions arrêtées pour arriver à terme à améliorer la situation dans ce secteur. Les trois axes retenus sont ainsi la réforme de la réglementation, la promotion des réglementations réformées et le renforcement des capacités des gouvernements africains. À la fin du projet, il est attendu aussi trois résultats essentiels, à savoir une réforme des politiques et réglementations agricoles, un accroissement des investissements du secteur privé et l'atteinte d'au moins 25 réformes réglementaires ou politiques.
Les Dépêches de Brazzaville
Au total, l'Agra entend motiver environ 25 réformes réglementaires ou politiques majeures dans les pays sélectionnés. Il s'agit d'arriver à mieux générer les augmentations mesurables de l'investissement du secteur privé dans les entreprises agroalimentaires locales. Le projet est financé par la fondation Gates, et il suscite déjà un espoir de voir enfin se multiplier le nombre de petits exploitants agricoles. Ces derniers devront avoir accès aux technologies améliorées venant des entreprises agroalimentaires intervenant dans les chaînes de valeurs locales d'aliments de base. L'on s'attend aussi à un meilleur accès aux opportunités de marché générant des revenus stables.
Par un effet d'entraînement, l'on projette déjà une augmentation de la productivité et des revenus des petits exploitants agricoles, et une réduction de la pauvreté pour les familles dépendantes de ces activités grâce à l'amélioration de l'accès aux marchés des intrants et produits agricoles. Avec la mise en place du projet MIRA, les décideurs africains accèderont à une assistance technique internationale et locale de qualité, explique les experts de l'Agra. Il faut corriger les réglementations actuelles très dissuasives, pour favoriser l'émergence des lois plus incitatives pour les PME agroalimentaires du secteur agricole.
Tout le sens du défi lancé est d'arriver à pousser les décideurs africains et analystes à réaliser des évaluations éclairées des décisions arrêtées pour arriver à terme à améliorer la situation dans ce secteur. Les trois axes retenus sont ainsi la réforme de la réglementation, la promotion des réglementations réformées et le renforcement des capacités des gouvernements africains. À la fin du projet, il est attendu aussi trois résultats essentiels, à savoir une réforme des politiques et réglementations agricoles, un accroissement des investissements du secteur privé et l'atteinte d'au moins 25 réformes réglementaires ou politiques.
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