La CEA, structure d'appui des pays africains dans la recherche et la formulation des politiques en matière de climat, soutient le renforcement des positions de négociation de l'Afrique et se félicite des réunions préparatoires de la COP, notamment la Conférence des ministres africains de l'environnement à Gaborone, au Botswana, et la troisième Conférence annuelle sur les changements climatiques et le développement en Afrique (CCDA III), à Addis-Abeba, en octobre.
A la CCDA III, M. Carlos Lopes, le secrétaire exécutif de la CEA, a mis en garde contre le fait que «l'Afrique est prise dans le carcan des négociations mondiales sur les changements climatiques qui, pour l'essentiel, répondent dans une large mesure à des intérêts mondiaux extérieurs», indiquant qu'un début de solution ne serait trouvé que lorsque l'Afrique «affermirait ses propres vues sur la façon de faire en sorte que ce soient les intérêts du continent d'abord».
Pour M. Carlos, «Les changements climatiques offrent au Continent un éventail de possibilités d'investissement incroyables qui peuvent rapporter gros».
Il suggère «une politique africaine sur le climat et le développement» pouvant permettre de répondre aux vulnérabilités exceptionnelles et d'exploiter les opportunités uniques auxquelles il fait face tout en le mettant en position d'influer les négociations et les résultats».
La CEA, rappelle-t-on, soutient les pays africains dans la recherche et la formulation des politiques en matière de changement climatique, à travers le CAPC, initiées par la Commission de l'Union africaine, la BAD et la CEA.
Situé à Yaoundé, Cameroun, le Bureau Sous-Régional pour l'Afrique Centrale de la Commission Économique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA/BSR-AC) couvre les Etats membres suivants: le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine, la République Démocratique de Sao Tome & Principe et le Tchad.
Infos Plus Libreville
A la CCDA III, M. Carlos Lopes, le secrétaire exécutif de la CEA, a mis en garde contre le fait que «l'Afrique est prise dans le carcan des négociations mondiales sur les changements climatiques qui, pour l'essentiel, répondent dans une large mesure à des intérêts mondiaux extérieurs», indiquant qu'un début de solution ne serait trouvé que lorsque l'Afrique «affermirait ses propres vues sur la façon de faire en sorte que ce soient les intérêts du continent d'abord».
Pour M. Carlos, «Les changements climatiques offrent au Continent un éventail de possibilités d'investissement incroyables qui peuvent rapporter gros».
Il suggère «une politique africaine sur le climat et le développement» pouvant permettre de répondre aux vulnérabilités exceptionnelles et d'exploiter les opportunités uniques auxquelles il fait face tout en le mettant en position d'influer les négociations et les résultats».
La CEA, rappelle-t-on, soutient les pays africains dans la recherche et la formulation des politiques en matière de changement climatique, à travers le CAPC, initiées par la Commission de l'Union africaine, la BAD et la CEA.
Situé à Yaoundé, Cameroun, le Bureau Sous-Régional pour l'Afrique Centrale de la Commission Économique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA/BSR-AC) couvre les Etats membres suivants: le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine, la République Démocratique de Sao Tome & Principe et le Tchad.
Infos Plus Libreville