Une année particulièrement horrible pour les femmes en Afrique du Sud - pays où les violences sexuelles atteignent des niveaux record. Dernier cas qui a provoqué une vague de protestation inédite : le viol et le meurtre de la jeune fille Anene Booysen.
Mais situation tout aussi abominable ailleurs sur le continent: Au Kenya, violée puis jetée dans une fosse septique, une adolescente a vu ses agresseurs ressortir de leur cellule avec, comme peine, l'obligation de débroussailler les abords du poste de police!
Au Congo-Kinshasa, les femmes et les filles ont également subi les pires violences sexuelles perpétrées des éléments appartenant tant aux groupes armés qu'a l'armée régulière. A tel point que la RDC avait aussi été qualifiée de capitale mondiale du viol.
Il y a des militants qui sont toutefois optimistes et pensent que la campagne de sensibilisation gagne effectivement du terrain. A Nairobi, des centaines de manifestants sont descendus dans la rue en octobre dernier pour réclamer des peines plus sévères pour les violeurs présumés contraints seulement à tondre la pelouse. A Kinshasa, des dizaines de soldats comparaissent en cour, accusés de viols collectifs. Quelques améliorations certes, mais pour Tiseke Kasambala de Human Rights Watch-Afrique, beaucoup reste encore à faire.
Le président sud-africain Jacob Zuma, lui-même acquitté de viol, s'est prononcé ce lundi contre la violence sexuelle à l'occasion du premier jour de la campagne des Seize jours d'action contre la violence liée au genre.
Voice of America
Mais situation tout aussi abominable ailleurs sur le continent: Au Kenya, violée puis jetée dans une fosse septique, une adolescente a vu ses agresseurs ressortir de leur cellule avec, comme peine, l'obligation de débroussailler les abords du poste de police!
Au Congo-Kinshasa, les femmes et les filles ont également subi les pires violences sexuelles perpétrées des éléments appartenant tant aux groupes armés qu'a l'armée régulière. A tel point que la RDC avait aussi été qualifiée de capitale mondiale du viol.
Il y a des militants qui sont toutefois optimistes et pensent que la campagne de sensibilisation gagne effectivement du terrain. A Nairobi, des centaines de manifestants sont descendus dans la rue en octobre dernier pour réclamer des peines plus sévères pour les violeurs présumés contraints seulement à tondre la pelouse. A Kinshasa, des dizaines de soldats comparaissent en cour, accusés de viols collectifs. Quelques améliorations certes, mais pour Tiseke Kasambala de Human Rights Watch-Afrique, beaucoup reste encore à faire.
Le président sud-africain Jacob Zuma, lui-même acquitté de viol, s'est prononcé ce lundi contre la violence sexuelle à l'occasion du premier jour de la campagne des Seize jours d'action contre la violence liée au genre.
Voice of America