Prenant la parole lors de la quatrième session du Forum régional africain pour le développement durable à Dakar, au Sénégal, Chambas dit, par exemple, que si l’Afrique veut élargir l’accès à l’énergie d’ici 2030, cible 7 des ODD, des investissements d’environ 34,2 milliards de dollars américains par an sont nécessaires.
«Il est donc opportun que le Forum régional soit organisé dans le contexte de la réunion des pays africains qui s’est déroulé en mars 2018 pour lancer la Zone de libre-échange continentale africaine», indique-t-il.
Chambas précise que la ZLECA donnera un élan à l’intégration régionale et catalysera les efforts conjoints et concertés pour résoudre un large éventail de questions qui sont essentielles pour mettre la population africaine sur la voie d’un développement durable et résilient. La ZLECA, entre autres choses, aidera à renforcer le développement des infrastructures régionales, y compris en stimulant l’approvisionnement énergétique, en vue de faciliter le commerce et de produire de la valeur ajoutée respectivement.
44 des 55 chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine ont jusqu’à présent signé l’accord de la ZLECA, qui une fois en vigueur, sera la plus grande zone commerciale du monde. Elle augmentera le commerce intra-africain de 52 pour cent d’ici 2022.
Chambas informe que l’Afrique reste le continent où l’on compte le plus grand nombre de personnes vivant dans la pauvreté, une tendance importante de la vulnérabilité, car elle compromet la capacité d’une grande partie de la population à faire face aux chocs naturels et humains.
Réaliser les ODD et l’Agenda 2063 de l’Afrique offre aux pays africains l’opportunité de reconfigurer les plans de développement qui sont un siège central à la transformation structurelle inclusive, mentionne le chef de l’UNOWAS.
«Nous entamons maintenant la troisième année de mise en œuvre des ODD. Et nous entamons la quatrième année de celle du premier plan décennal de mise en œuvre de l’Agenda 2063. Au cours de cette période, la plupart de nos pays ont révisé et aligné leurs cadres de développement pour mettre en œuvre les objectifs convenus. Malgré les progrès réalisés, certains craignent que le rythme actuel ne soit pas assez rapide. Les craintes que certains objectifs ne soient pas réalisés dans les délais fixés sont de plus en plus nombreuses», déclare-t-il.
Pathé TOURE
«Il est donc opportun que le Forum régional soit organisé dans le contexte de la réunion des pays africains qui s’est déroulé en mars 2018 pour lancer la Zone de libre-échange continentale africaine», indique-t-il.
Chambas précise que la ZLECA donnera un élan à l’intégration régionale et catalysera les efforts conjoints et concertés pour résoudre un large éventail de questions qui sont essentielles pour mettre la population africaine sur la voie d’un développement durable et résilient. La ZLECA, entre autres choses, aidera à renforcer le développement des infrastructures régionales, y compris en stimulant l’approvisionnement énergétique, en vue de faciliter le commerce et de produire de la valeur ajoutée respectivement.
44 des 55 chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine ont jusqu’à présent signé l’accord de la ZLECA, qui une fois en vigueur, sera la plus grande zone commerciale du monde. Elle augmentera le commerce intra-africain de 52 pour cent d’ici 2022.
Chambas informe que l’Afrique reste le continent où l’on compte le plus grand nombre de personnes vivant dans la pauvreté, une tendance importante de la vulnérabilité, car elle compromet la capacité d’une grande partie de la population à faire face aux chocs naturels et humains.
Réaliser les ODD et l’Agenda 2063 de l’Afrique offre aux pays africains l’opportunité de reconfigurer les plans de développement qui sont un siège central à la transformation structurelle inclusive, mentionne le chef de l’UNOWAS.
«Nous entamons maintenant la troisième année de mise en œuvre des ODD. Et nous entamons la quatrième année de celle du premier plan décennal de mise en œuvre de l’Agenda 2063. Au cours de cette période, la plupart de nos pays ont révisé et aligné leurs cadres de développement pour mettre en œuvre les objectifs convenus. Malgré les progrès réalisés, certains craignent que le rythme actuel ne soit pas assez rapide. Les craintes que certains objectifs ne soient pas réalisés dans les délais fixés sont de plus en plus nombreuses», déclare-t-il.
Pathé TOURE