Sur les 54 pays africains, seulement deux pays, à savoir : la Tanzanie et l'Ile Maurice, ont déjà adopté le mode de diffusion numérique, indique la conférence de Niamey qui a fait l'état des lieux de cette transition des médias à supports électroniques des pays africains vers le tout numérique.
Tous les contours et aspects de la question ont été abordés par les professionnels du secteur et les institutionnels qui ont la charge de le réguler. Pour mieux réussir cette transition, la rencontre de Niamey, trois jours durant, a intensifié les réflexions sur les défis et les bouleversements de la migration vers la norme numérique.
En clôturant les travaux, le nouveau président en exercice du RIARC et de la Conférence des instances de régulation de la communication d'Afrique, le président du Conseil supérieur de la communication (CSC) du Niger, Abdourrahamane Ousmane, a indiqué que la rencontre de Niamey a permis à quatre catégories d'acteurs, à savoir: les régulateurs des médias, les institutions internationales et régionales, les opérateurs de télévision, les opérateurs de satellite, de confronter leurs points de vue et parfois leurs intérêts sur la problématique de la transition vers le numérique.
"Nos échanges nous ont aussi permis de découvrir que des expériences de Télévision numérique terrestre (TNT) existent déjà dans certains pays africains. Il faut sortir de l'anonymat toutes ces belles initiatives, qu'elles émanent du secteur public ou privé, pour les valoriser, pour les modéliser, afin de proposer des solutions qui prennent en compte les intérêts des pays et des citoyens africains", a indiqué Abdourahmane Ousmane.
Il a cependant fait observer qu'il ne faut pas non plus fermer la porte aux opportunités de partenariat qui s'offrent aux pays africains, dès lors que celles-ci s'inscrivent dans une logique gagnant-gagnant ; et dès lors que ces offres vont permettre à ces pays de bien tracer leurs routes vers le numérique.
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Tous les contours et aspects de la question ont été abordés par les professionnels du secteur et les institutionnels qui ont la charge de le réguler. Pour mieux réussir cette transition, la rencontre de Niamey, trois jours durant, a intensifié les réflexions sur les défis et les bouleversements de la migration vers la norme numérique.
En clôturant les travaux, le nouveau président en exercice du RIARC et de la Conférence des instances de régulation de la communication d'Afrique, le président du Conseil supérieur de la communication (CSC) du Niger, Abdourrahamane Ousmane, a indiqué que la rencontre de Niamey a permis à quatre catégories d'acteurs, à savoir: les régulateurs des médias, les institutions internationales et régionales, les opérateurs de télévision, les opérateurs de satellite, de confronter leurs points de vue et parfois leurs intérêts sur la problématique de la transition vers le numérique.
"Nos échanges nous ont aussi permis de découvrir que des expériences de Télévision numérique terrestre (TNT) existent déjà dans certains pays africains. Il faut sortir de l'anonymat toutes ces belles initiatives, qu'elles émanent du secteur public ou privé, pour les valoriser, pour les modéliser, afin de proposer des solutions qui prennent en compte les intérêts des pays et des citoyens africains", a indiqué Abdourahmane Ousmane.
Il a cependant fait observer qu'il ne faut pas non plus fermer la porte aux opportunités de partenariat qui s'offrent aux pays africains, dès lors que celles-ci s'inscrivent dans une logique gagnant-gagnant ; et dès lors que ces offres vont permettre à ces pays de bien tracer leurs routes vers le numérique.
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