L'OICS, qui est un organe technique indépendant de l'Organisation des Nations Unies, note qu'environ 92% de la morphine utilisée dans le monde est consommée par seulement 17% de la population mondiale, principalement aux États-Unis, au Canada, en Europe de l'Ouest, en Australie et en Nouvelle-Zélande.
Selon le rapport, les gouvernements ont l'obligation de combler ce fossé en matière de disponibilité des médicaments et substances psychotropes à des fins médicales et scientifiques afin de se conformer aux Conventions sur le contrôle international des drogues.
Le rapport note que les catastrophes naturelles et les conflits armés à travers le monde peuvent limiter l'accès aux médicaments essentiels.
Dans ce contexte, l'OICS rappelle aux Etats que « dans les situations d'urgence médicale, des mesures de contrôle simplifiées peuvent être mises en place ». Cela fut ainsi le cas aux Philippines après le typhon Haiyan en 2013, lorsque l'OICS a indiqué à tous les pays, ainsi qu'aux fournisseurs de l'assistance humanitaire, les procédures simplifiées pour l'exportation, le transport et la fourniture des médicaments contenant des substances faisant l'objet d'un contrôle international.
« Les Etats devraient également savoir qu'en vertu du droit international humanitaires, les parties à des conflits armés doivent autoriser l'accès aux soins médicaux, y compris l'accès aux médicaments essentiels, pour la population civile dans les territoires sous leur contrôle », a précisé l'organe des Nations Unies.
UN News/allafrica.com
Selon le rapport, les gouvernements ont l'obligation de combler ce fossé en matière de disponibilité des médicaments et substances psychotropes à des fins médicales et scientifiques afin de se conformer aux Conventions sur le contrôle international des drogues.
Le rapport note que les catastrophes naturelles et les conflits armés à travers le monde peuvent limiter l'accès aux médicaments essentiels.
Dans ce contexte, l'OICS rappelle aux Etats que « dans les situations d'urgence médicale, des mesures de contrôle simplifiées peuvent être mises en place ». Cela fut ainsi le cas aux Philippines après le typhon Haiyan en 2013, lorsque l'OICS a indiqué à tous les pays, ainsi qu'aux fournisseurs de l'assistance humanitaire, les procédures simplifiées pour l'exportation, le transport et la fourniture des médicaments contenant des substances faisant l'objet d'un contrôle international.
« Les Etats devraient également savoir qu'en vertu du droit international humanitaires, les parties à des conflits armés doivent autoriser l'accès aux soins médicaux, y compris l'accès aux médicaments essentiels, pour la population civile dans les territoires sous leur contrôle », a précisé l'organe des Nations Unies.
UN News/allafrica.com