chroniques
Selon Mme Fatimata Sawadogo représentante résidente de la Commission de l’UEMOA, c’est depuis 2001 que l’UEMOA a adopté la politique agricole de l’Union (PAU) conformément aux règles de son traité fondateur. « L’objectif global de cette politique est de contribuer durablement à la satisfaction des besoins alimentaires des populations, au développement économique et social des Etats membres et à la réduction de la pauvreté en milieu rural » , ajoute-t-elle. A son avis, c’est en considérant que la lutte contre les ravageurs des cultures est d’une importance capitale dans la promotion d’une agriculture durables et une condition essentielle pour réaliser la sécurité alimentaire que la Commission de l’UEMOA a décidé d’apporter sa modeste contribution dans le cadre de cette lutte qui passe également par le renforcement des capacités des experts en charge de cette lutte. De l’avis de Mme Sawadogo , c’est par la conjugaison des efforts multiples de tous les acteurs que l’autosuffisance alimentaire tant prôné par nos décideurs sera une réalité.
Pour sa part, M. Mbargou Lô Directeur de la Direction de protection des végétaux (DPV) a laissé entendre que les sessions de formation exécutées par la DPV sur financement l’UEMOA ont démarré depuis le 16 décembre 2013. « Le volet formation bénéficie de 30,075 millions FCFA sur un financement global de 100 millions FCFA », signale-t-il. Selon lui, sur un objectif de 22 formateurs et 280 producteurs, sont formés 22 formateurs et 244 producteurs. « A l’entame de la formation sur les oiseaux granivores, nous mesurons l’importance de notre mission qui devra contribuer à l’atteinte de l’objectif d’autosuffisance en riz à l’horizon 2017 », laisse entendre M. Lô.
Venu présider l’ouverture de la session de formation, Dr Dogo Seck le secrétaire général du ministère de l’agriculture et de l’équipement rural a estimé que la production projetée de riz paddy en 2017 est de 1,6 million de tonnes dans le cadre du Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS) qui met en œuvre le Plan Sénégal émergent (PSE).
Pour arriver à cet objectif ambitieux M. Seck a énoncé un certain nombre d’actions notamment la protection des cultures contre les oiseaux granivores qui selon lui, constituent l’ennemi numéro un de la production de riz puisqu’ils causent chaque année des pertes de 30 à 70%.
El Hadj Diakhaté
Pour sa part, M. Mbargou Lô Directeur de la Direction de protection des végétaux (DPV) a laissé entendre que les sessions de formation exécutées par la DPV sur financement l’UEMOA ont démarré depuis le 16 décembre 2013. « Le volet formation bénéficie de 30,075 millions FCFA sur un financement global de 100 millions FCFA », signale-t-il. Selon lui, sur un objectif de 22 formateurs et 280 producteurs, sont formés 22 formateurs et 244 producteurs. « A l’entame de la formation sur les oiseaux granivores, nous mesurons l’importance de notre mission qui devra contribuer à l’atteinte de l’objectif d’autosuffisance en riz à l’horizon 2017 », laisse entendre M. Lô.
Venu présider l’ouverture de la session de formation, Dr Dogo Seck le secrétaire général du ministère de l’agriculture et de l’équipement rural a estimé que la production projetée de riz paddy en 2017 est de 1,6 million de tonnes dans le cadre du Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS) qui met en œuvre le Plan Sénégal émergent (PSE).
Pour arriver à cet objectif ambitieux M. Seck a énoncé un certain nombre d’actions notamment la protection des cultures contre les oiseaux granivores qui selon lui, constituent l’ennemi numéro un de la production de riz puisqu’ils causent chaque année des pertes de 30 à 70%.
El Hadj Diakhaté
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